[Terminé]La résistance - partie 2 (RP solo)

Alors que Raclaw sentait ses sens lui revenir doucement, une douleur sourde se fit sentir dans son crâne, lui rappelant qu’il avait prit un vilain coup sur la tête. Autours de lui, tout était noir et bien vite, il put comprendre qu’il avait une cagoule sur la tête. Ses efforts pour essayer de l’enlever furent vains, car il sentit des liens lui retenir les poignets. Alors qu’il commençait à remuer, dans tous les sens, il entendit une voix étrangement douce s’adresser à lui.
- Ah… Tu es réveillé, très bien, on va pouvoir commencer.
Un instant plus tard, on lui retira la cagoule et un homme très costaud, crâne chauve, d’une quarantaine d’années apparu face à lui, entouré de deux gardes armés de AK-47.
- Alors, mon client d’aujourd’hui… Vous êtes Raclaw Leonhart, 19 ans… hum c’est bien ça, un cœur solide ! Ca va vous être utile… Pas de famille, donc tant mieux pour vous.
L’homme s’assis face à Raclaw, un immense sourire sur son visage.
- On m’a dit de ne pas vous tuer, on ne pas vous couper des choses qui ne peuvent pas repousser, à part ça, j’ai les mains libres.
L’homme se leva et alla chercher une batterie qu’il posa aux pieds de Raclaw.
- On va commencer soft, avec une petite décharge pour vous réveiller, et après je vous poserais quelques questions. A commencer pas qu’est-ce que le groupe auquel vous appartenez et où sont vos complices ?

Raclaw se réveilla avec une vive douleur a l’arrière du crane, il sentit le tissu qui obstruait sa vue et sa respiration etc comprit que sur sa tète se trouvait une cagoule, on la lui retira et la lumière éblouit un instant, puis il vit la personne qui avait commencer a lui parler et a s’accroupir au près de lui avec un sourire mauvais. il lui posais des questions sur son groupe. décidément qui que soient ces personnes elles étaient très bien renseigné.

le gars lui posa une batterie devant et lui demanda ou ils se trouvaient. Il déglutit puis décida de ne pas avouer et répondit avec une bravade verbale.

-Un groupe? quel groupe? désolé je fais pas de musique, moi je suis barman. navré.

il sourit et planta ses eux azur dans ceux de son interlocuteur le levres souriant en coin

L’homme face à Raclaw, déjà souriant, élargit un peu plus son sourire à la réponse du jeune homme puis, il se mit doucement à rigoler. D’abord modestes, ses rires se firent de plus en plus forts et il pointa du doigt Raclaw, comme s’il faisait le geste de dire qu’elle était bien bonne. Au bout de quelques secondes cependant, que Raclaw le rejoigne dans son rire ou pas, sa réaction fut extrêmement brutale car il changea instantanément son rire en silence et son visage se ferma alors qu’il attrapait les têtons de Raclaw avec deux pinces en métal. Ce changement avait été soudain et les pinces elles-mêmes faisaient mal, mais ce n’était rien comparé à la douleur infligée par l’électricité qui circula instantanément.

Une intense sensation de brûlure envahit alors Raclaw au niveau des seins, très forte et douloureuse, mais surtout ce qui était insoutenable était cette sensation de douleur très forte entre les deux, comme si l’intégralité de ses nerfs de la cage thoracique s’était transformés en fils incandescents. Ses muscles également se contractèrent si forts qu’ils étaient agités de spasmes, ajoutant une douleur musculaire au reste. Paralysé de douleur, même crier semblait requérir un effort surhumain.

Cette torture ne dura que quelques secondes qui parurent une éternité au jeune Raclaw et quand l’homme relâcha enfin le courant, il lui tapota l’épaule.
- Disons que c’était pour requérir ton attention. T’a été identifié par un témoin de tes meurtres et tu l’as signé, franchement inutile de le nier ça… Tu fais partie d’un groupe appelé « Wings of Liberty », ce que je veux savoir c’est si t’es auto-entrepreneur ou associé. Si t’as besoin d’une autre piqûre de rappel, hésites pas à demander…
Dit-il en faisant s’entrechoquer les deux pinces, dégageant alors des étincelles.

Raclaw au moment où il avait répondu au chauve savait que ça allait lui faire très mal par la suite mais il ne s'attendait pas au changement d'attitude si soudain de son interlocuteur qui le branchant littéralement à la batterie et l'électricité pendnat quelques secondes que Raclaw regretta et où il se mit à serrer les dents comme pas possible atelier point qui s'était demande si s'une balle ne ferait pas moins mal. Alors quand l'électricité parcourant son corps s'arrêta il souffla un coup et inspira un grand coup. Puis il réécoutant son interlocuteur. Et là il tilta l'erreur qu'il avait commise lors de l'assassinat de l'officier de l'armée.

Il aurait dut s'en rendre compte plus tôt en fait. Évidemment que c'était stupide de signer son crime avec le nom de son groupuscule. Et maintenant il était torture par il ne savait pas qui pour des réponses qu'il était hors de question qu'il révèle même si il devait mourrir.
Il regarda le chauve et le fixa quelques secondes avant de répondre.

-C'est plutôt une entreprise familiale. Voyez vous le bar ne m'appartient pas à l'origine il était a ma mère. Mais bon après elle est morte donc. Après les wings of liberty j'ai juste écris ça comme ça je trouvais que ça sonnait pas mal. Vous en pensez quoi?

Puis il se tut en terminant sa phrase en se préparant cette fois psychologiquement au supplice supplémentaire qui allait suivre.

Le type face à Raclaw sourit face à sa confession et sembla tourner une molette sur la batterie, visiblement pour réduire la tension. Il sourit de nouveau de plus belle.
- Oui notre "associé" nous a parlé de ton bar. Pas mal parait-il. Tu accordes facilement ta confiance aussi il semble, pas bon ça, ça et la signature. T'es un amateur, c'est pas une bonne idée de se lancer dnas la résistance quand on est amateur, il faut savoir comment faire les choses correctement. Prends moi par exemple, il m'a fallut des années à m'entraîner sur des fumiers pour trouver pile le bon voltage et ampérage qui soit pas mortel tout en infligeant un max de douleur. C'est tout un métier.
Une fois ceci étant dit, il mis les pinces de chaque côté de l'entrejambe de Raclaw. La douleur fut cette fois-ci proprement insoutenable, comme si on lui liquéfiait les couilles. Cela ne dura pas très longtemps mais paru une éternité pour le jeune apprentit résistant. Quand il eu terminé, il redemanda.
- Alors ? Des complics dans ton organisation ? Oui ou non, toute autre réponse n'est pas recevable. Et fais attention, je sais repérer les mensonges, et j'aime pas qu'on me mente.

Raclaw regretta vite son audace en sentant le courant à plien puissance dans ses bijoux de familles. Quand la douleur se tut il tomba la tête contre le sol haletant et les dents serrés en écoutant son interlocuteur qui lui posait toujours des questions. Difficilement Raclaw se remit droit et le fixa avec un regard noir.

-Ca sert à quoi que vous sachiez ça? De toute façon je vais mourrir ici donc autant ne rien vous dire et vous laissez savourer mon supplice non? Et en plus vous êtes qui? Une section de l'armée, une sécurité privée, des mercenaires, des criminels ?

Oui il se tut fixant toujours son interlocuteur avec haine et les dents serré autant par la douleur que par la colère. Franchement si il avait eu son flingue il aurait fait un carnage la tout de suite.

Le type dévisagea Raclaw avec son sourire carnassier avant de le perdre petit à petit devant sa réponse. Quand Raclaw eu terminé, il avait perdu son sourire et s’était crispé dans une grimasse contrariée. Il se rapprocha de lui et tira ses cheveux en arrière avant de lui asséner dans al mâchoire un coup de poing d’une telle violence que Raclaw se demanda sur le coup s’il n’avait pas perdu des dents dans l’opération. L’homme inclina son crâne en arrière pour lui parler de plus près.
- Qu’importe qui nous sommes… Et ta raison, que tu parles ou pas ça change rien… A cause de toi, beaucoup de gens sont morts, y compris des amis à moi… Alors oui, tu vas crever, mais crois-moi tu vas regretter d’être né avant ! Et que tu parles ou pas tu m’appelleras dieu avant la fin de la journée. Si tu veux prendre ton temps, je prendrais le miens aussi, mais crois-moi si je te dis que j’en fais une affaire personnelle, tu devrais déjà être mort de peur…
Après cela, il lâcha le crâne de Raclaw et agrippa une petite pince : un écarteur d’œil. Il le coinça dans l’œil gauche de Raclaw pour le forcer à maintenir ouvert, puis il s’empara d’une perceuse après avoir hésité un moment à prendre un chalumeau à la place. Il se rapprocha de Raclaw avec un sourire sadique.
- Ça va piquer un peu…
Puis il mit en route la machine infernale, la mèche visant directement son œil. Lentement, elle se rapprocha en émettant un bruit abominable. Au moment où elle n’était plus qu’à un centimètre de sa pupille, une voix se fit entendre.
- CA SUFFIT !
Le tortionnaire stoppa alors la rotation de sa perceuse, et détourna le regard vers la personne qui l’avait interrompue. De son côté, Raclaw constata que son pantalon était mouillé… Etait-ce à cause de l’électricité qui avait relâché sa vessie automatiquement ou la peur à la vue de cette mèche de perceuse ? Il pourrait se dire ce qu’il voulait pour ne pas s’en vouloir mais le résultat était là : il allait devoir emmener son pantalon au pressing s’il s’en sortait. La femme qui avait interrompu le spectacle se rapprocha. C’était une femme d’une trentaine d’années, les cheveux noirs longs et frisés légèrement, avec une couleur de peau très foncé qui la classait donc dans les afro-Américains.
- T’as perdu le contrôle…
Le bourreau répondit, agacé.
- Nan, j’ai pas perdu le contrôle, j’accélère un peu les choses…
- Je t’avais dit, pas de choses handicapantes, et au out de 5 minutes t’essaye déjà de lui crever un œil… T’as perdu le contrôle… On ne va pas le tuer… Une fois pour toute et quoi qu’il ai fait, on le tuera pas, fous-toi ça dans le crâne, compris ?
Le tortionnaire grogna et lâcha son approbation du bout des lèvres avant de retirer l’écarteur de l’œil de Raclaw. Il sen alla ensuite et disparu en claquant la porte. La femme agrippa ensuite une chaise et s’assit dessus, dossier devant elle. Elle dévisagea Raclaw quelques secondes avant de prendre la parole.
- J’aurai voulu vous voir souffrir plus longtemps… Après tout le mal que vous nous avez fait ça aurait été justice… Mais ce serait dangereux de le laisser continuer, Ignacio est très émotif, et un ami très proche de lui est mort à cause de vous… Estimez-vous heureux de pouvoir encore vous tenir sur vos deux jambes.
Elle dévisagea Raclaw encore quelques secondes, en silence, puis continua.
- Je m’appelle Sabrina Harris… Si vous êtes vraiment un résistant comme vous prétendez être, vous devez savoir qui je suis…

Raclaw après ses dires. Se fit réprimander par le chauve et eu droit à un sermons et un violent coup de poing, tellement violent qu'il pensait qu'il avait perdu sa mâchoire. Mais il n'ne fit pas grande attention quand il se rendit compte que les coups d'électricité avait fait friche sa veSie et que son pantalon était maintenant mouillé. De plus le chauve s'était énervé et lui appprochait maintenant une perceuse de l'oeil. Il s'apprêtait à se faire transpercer et à devenir Borgne quand une voix dans le dos du cahier l'interrompit.

Raclaw reprit son souffle pendant que les deux protagonistes parlait. Il ne faisait pas trop attention à leurs conversation mais apparemment la femme qui était apparu reprimandait le chauve. Avant de lui passer à lui aussi un savon. Elle se présenta sous le nom de Sabrina Harris. Raclaw ne connaissais pas. Ce qui aurait apparemment du être le cas.

Il souffla et la fixa dans les yeux

-Non désolé connais pas. Et puis si vous etiez poursuivi par une dizaine de personnes armée je me demande comment vous auriez réagi vous. Moi j'ai fait ce que j'estime nécessaire. Donc voila. Et oui je suis un résistant mais on vas dire que j'agis en compagnie indépendante. Et puis vous vous êtes qui a la fin et qu'est ce que je fais la?

La fille face à Raclaw l’écoute éructer quelques instants mais resta impassible avant de décroiser les bras.
- Et… Il t’es pas venu à l’idée que cette foule te poursuivait pas parce que tu te prétend résistant, mais plutôt parce que t’as tué à l’aveugle deux hommes de sang froid, avant de signer ton crime sur un mur avec leur propre sang… Si tous les gens dans cette foule avaient été des résistants, tu crois que leur réaction aurait été différente en voyant avec quelle sauvagerie t'as tué ces deux hommes ?
Elle se recula alors et planta ses yeux glacés dans ceux de Raclaw.
- Tu me demandes qui on est ? On est les pros, là où toi tu n’est qu’un amateur, nous sommes la vraie, résistance. Celle qui combat la tyrannie du président Holmes et l’oppression, pas qui assassine des soldats de sang-froid et tire dans des foules de gens que nous avons juré de protéger. Et en plus de mes activités de résistante, tu sais qui je suis ? Je suis la chef de la police de Louisiane… Je suppose que si c’est moi que t’avais croisé ce soir là plutôt que ce militaire, tu m’aurais tuée tout pareil non ? T’as l’air de t’être tellement bien renseigné…
Elle se leva ensuite, l’air contrarié, et très énervée.
- J’en ai vu beaucoup des psychopathes comme toi, des mecs qui tuent au hasard en se prétendant résistants, tout ça pour se donner une pseudo justification pour assouvir leur soif de sang. Pour autant que je sache, ça les a tous mené à la chaise ou à la corde… Sans aucune reconnaissance de la part du public ou de notre mouvement… Juste de n’être qu’un psychopathe de plus qui, pour une fois, méritent leur sort. T’as quand même un truc de plus, car c’est pas juste ta stratégie de défense devant un tribunal, le fait que tu es signé ton crime est certainement ce qui nous a permis de te trouver, mais paradoxalement ce qui va te sauver la mise aujourd’hui, car ça te distingue des autres psychopathes dont j’ai parlé il y a un instant.
Elle se rassis alors sur le tabouret et le fixa de nouveau.
- Ce serait que de moi, je te ferais couper la langue pour que taille pas baver de ce que t’as vu aujourd’hui et je te ramènerais au poste. Personnellement je pense que 10000 volts dans les fesses sont tout ce que tu mérites. Mais j’ai des collègues qui pensent autrement, qui voient en ton jeune âge la bêtise de la jeunesse et qui voudraient te laisser une autre chance… En ce moment même il y a un gamin de 14 ans qui attend en taule de se faire pendre pour vol à la tire et toi le meurtrier on va te laisser une deuxième chance, ça me dépasse…
Dit-elle en soupirant et en secouant la tête de gauche à droite. A contrecœur, elle commença donc à exposer ses conditions.
- Qu’on soit bien clairs, nous n’avons pas besoin de toi, tu as une dette envers nous. Ton meurtre aveugle a relancé des enquêtes sur la résistance alors qu’on faisait profil bas, on a perdu trois membres de notre groupes en représailles, pendus par la NF en réaction à tes conneries, et tu as tiré dans la foule au hasard, blessant gravement deux civils. En 10 minutes tu as démoli le peu de confiance que le peuple de la Nouvelle-France nous accordait, une confiance qu’on a mis des années à gagner. Maintenant nous sommes de nouveau des terroristes dans les yeux de toute la ville à cause de toi. Et je te parle même pas des familles du mec que t’as flingué et son chauffeur, je l’ai ai eu dans mon bureau ce matin… Nan, définitivement non, tu mériterai de griller pour tout le mal que t’as fait…
Elle avait haussé la voix tout au long de son paragraphe, mais finalement elle se laissa retomber sur son tabouret pour conclure.
- Mais tu vas nous être utile d’une manière ou d’une autre. T’as deux options : soit tu nous prêtes allégeance, tu retournes te terrer dans ton bar jusqu’à ce qu’on t’appelle et jamais plus tu nous refais un coup comme ça.. Même si ça me plaît pas, je ferais ce qu’il faut pour faire capoter l’enquête… Soit tu refuses et dans ce cas moi et mon homme on deviendra ceux qui t’avons appréhendé, et t’iras tranquillement attendre à Hell’s deep jusqu’à ce qu’on décide de te rôtir, tout en gardant le silence… Ou mon ami le questionneur ira rendre visite à ta petite strip-teaseuse avant d’en finir avec toi d’une manière qui te fera regretter de pas avoir fini sur la chaise électrique.

Raclaw qui pensait les avoirs fait faire pour de bon mais finalement. La jeune femme devant lui partit dans un monologue pour dire à quel point il était stupide , irréfléchi pour se présenter aussi comme la chef de la police locale. Elle le menaça aussi un peu et lui propoSa deux solutions. Soit leur prêter allégeance, ce qui n'était pas pour lui plaire ou bien de le balancer pour ensuite s'en prendre à Stacy.

À l'Entente de cette menace Raclaw plonge vers elle mais il était retenu et le regard plein de haine il grogna d'une voix menaçante.

-Touche à Stacy et ta tête ornera la place publique.

Puis il s remit droit et la regarda avant le même regard. Puis dans un sourire il souffla.

-Je ne serai jamais soumis à quelqu'un. C'est compris ça ? Et puis en plus qu'est ce qui me prouve que vous êtes des résistants hein?

La femme face à Raclaw sourit de manière large face à ses menaces. A vrai dire, sa tentative d’intimidation avait l’air de lui passer complètement au dessus de la tête, mais celle de Raclaw, il n’avait même pas idée ! Elle répondit bien vite non sans une pointe d’amusement.
- Je pense qu’à ce moment là, la tienne sera tombée depuis longtemps.
Pour la suite elle afficha une grimasse déçue, mais pas vraiment surprise. Elle répondit à sa question en secouant la tête cependant.
- Rien ne te le prouve. De la même manière que rien ne nous prouve que tu veuilles vraiment être un résistant, et pas juste un psychopathe qui se trouve des excuses pour étancher sa soif de sang.
Elle se leva ensuite en tapotant ses cuisses avant de hausser les épaules.
- Comme tu voudras. Tu auras eu ta chance.
Elle se dirigea vers la porte et s’apprêta à toquer dessus.
- Quand tu seras dans le couloir de la mort, si il te prend l’envie de parler de ce que tu as vu aujourd’hui, rappelle-toi de Stacy… Rappelle-toi que ça peut toujours être pire…
Puis elle donna trois coups brefs sur la porte et attendit qu’on vienne lui ouvrir.

[size=13]Raclaw n'écoutait plus les propose de la femmes d'en face de lui et se concentrait sur deux choses la première se calmer et la seconde se sortir de ce guêpier. Il fit le tour des environs mais ne vit rien. Décidément il n'y avait aucune échappatoire. Il fallait réfléchir vite ou ce serait la fin pour lui mais aussi pour Stacy et sûrement Jackson.

Décidément il avait beau retourner le problème dans tout les sens il n'y avait qu'une seule solution et celle ci le revulsait. Mais il devait se rendre à l'évidence c'était la seule. Il inspira un grand coup et d'un coup et interpella la femme au moment où elle toquait sur la porte.

-OK C'EST BON!! C'est bon!!!

Il respira encore et repris

-C'est bon je vais vous prêter allégeance. Mais a une seule condition on bosse séparément. Vos instructions ok, mais mes hommes.

Il termina en plongeant ces yeux dans ceux de son interlocutrice[/size]

Alors que la porte s'ouvrait et que la fille allait sortir, elle s'immobilisa en entendant Raclaw finir par céder. Elle sembla réflechir un instant avec un sourire malicieux puis soupira avant de refermer la porte.
- Ok, dernière chance alors...
Elle revînt s'asseoir face à Raclaw et croisa ses bras. Cependant sa demande la fit exploser de rire, de façon totalement épidhermique. Elle sourit ensuite largement.
- Ca me conviens, on avait certainement pas l'intention de vous filer des hommes à commander de toute façon. Vous entrez dans notre organisation au bas de la hiérarchie, alors à moins que vous ayez déja des hommes suffisament fous pour vous suivre, ce qui ne me pose pas de problème, vous aurez à faire vos preuves avant de pouvoir accéder à un poste de commandement.
Elle marqua un temps de pause pour le laisser répondre avant de continuer elle même.
- Bien sûr, si vous êtes juste le psychopathe que je vous soupçonne d'être, vous serez déçu par ce qu'on vous donnera à faire. Mais si votre envie de servir une plus grande cause est réelle, je pense que vous réaliserez bien vite à quel point vous allez nous aider à changer les choses. Lequel des deux êtes vous monsieur Leonhart ?
Demanda-t-elle tout de même avec un sourire moqueur.

Raclaw observa silencieusement la femme de stopper avant de la voir se retourner et lui donner selon elle un dernière chance. Il souffla de soulagement et la regarda s'approcher et s'accroupir gant de lui expliquer qu cela lui convenait et quelques règles concernant les postes et la hiérarchie. Raclaw acquiesça, et répondit.

-Tres bien ça me convient.

Puis il attendit la suite et écouta avec attention les propos de son interlocutrice. Et sourit en coin à cette dernière en réponse à sa question. Et poursuivi en répondant.

-Ce sera à vous d'en juger pas à moi.

Il marqua une légère pause avant de poursuivre.

-Et je tiens à préciser une petite chose. Pour l'incident précédent dont je suis responsable. Et d'ailleurs je m'excuse pour le trouble cause c'était pas le but. Hé bien c'était notre premier coup et je ne pensais pas que j'aurais à faire usage des armes. Voilà. Bon par contre est ce que vous pourriez me détacher ?

Quand Raclaw déclara que ce serait à elle d'en juger, elle grimassa.
- Pas vraiment... J'ai appris à me fier à mes premières intuitions dans la police. Si ç tenait qu'à moi vous seriez en route pour Hell's deep en ce moment. Mais il m'est arrivé de me tromper, à vous de me faire mentir mazintenant, la balle est dans votre camp.
La femme face à Raclaw resta impassible alors qu'il s'escusait puis fini par hausser les épaules.
- C'est déja bien que vous preniez conscience d'à quel point vous avez merdé, mais c'est pas suffisant. Comme je vous ai dit, va falloir vous racheter dans les semaines à venir. On vous recontactera.
Elle siffla alors et deux mastocs apparurent pour détacher Raclaw de sa chaise, dont le boureau, visiblement contrarié par une libération si prématurée. La flic s'alluma alors une cigarette et demanda.
- Et, sinon, vous l'avez tué pourquoi ce mec ? Il avait des informations particulières que vous pourriez partager avec nous ?

Raclaw sourit une fois libéré et se frotter les mains avant de se remettre droit.hm et de s'epousseter un peu et de remettre son holster et son Colt à sa ceinture ainsi que son couteau.
Tout en écoutant la femme en face de lui. D'ailleurs quelques recherches s'imposait et pour ça il devrait appeler Jackson.

-Pas de souci on attendra.

Puis il réfléchit à la question. De la jeune femme et répondit.

-Bas apparemment il avait des fics sur de nouveaux appareils. Donc nous en voulions l'exclusivité. Mais les plans originaux avait déjà été livré tout ce qu'on a ce sont des photos et deux trois croquis de biplan et pour les fabriquer et les faire voler bas il faudrait un vrai crack.

Raclaw sortit alors son paquet de clope et s'en alluma une avant de commencer à tourner les talons , il s'arrêta un moment avant de de demander

-Par ou est la Sortie je vous prie ? j'aimerais regagner mon bar au plus vite. j'ai es clients qui doivent attendre et une associé qui m'attend.

il finit en relachant un nuage de fumée en regardant la femme.

S’il fut rapidement détaché de la chaise, Raclaw ne récupèrerai en revanche pas son équipement de sitôt car il n’était tout simplement pas là pour le moment. En revanche quand il répondit à la question de son interrogatrice, la mine de cette dernière s’assombrit. Elle finit par se frotter les yeux et soupira.
- En gros vous y êtes allé à l’aveugle quoi…. Vous vous êtes dit "je vais me farcir un militaire" et vous avez dézingué le premier qui est passé… Vous êtes au courant qu’on à des hommes chez eux et que vous auriez put tuer l’un d’entre eux ? Ou, ce que vous avez fait, vous avez flingué un mec qui n’était absolument pas une cible, que ce soit au plan stratégique ou moral… Non seulement ce mec trimballait rien qui nous servirait, mais en plus il a jamais fait de mal à qui que ce soit que des raiders… S’il vous prenait un jour l’idée de refaire des assassinats, par pitié faites plus ça quoi ! Renseignez-vous sur votre cible avant ! Merde !
Elle paraissait passablement énervée, mais s’efforça de se calmer, s’allumant une cigarette au passage.
- Faut que je me calme, on est dans le même camps maintenant… Quelque chose de positif, du positif oui…
Chuchota-t-elle à elle même avant de relever la tête. Elle prit un faux sourire et essaya de paraître sympathique.
- Par contre, ce que vous avez fait, c’est une sacrée preuve de courage malgré tout. De foncer comme ça, tête baissée, sans avoir aucune info et de buter un homme au hasard… Enfin ça aurait put, c’est dommage que dans votre cas ce soit de la stupidité et de l’inconscience.
Dit-elle à nouveau en serrant les poings et les dents. La simple présence de Raclaw avait l’air de l’énerver à lui faire perdre le contrôle de son propre corps. Finalement elle secoua la tête.
- Bon, je vais aller prendre l’air… Parce que sinon je sens qu’on va se friter. A une prochaine.
Dit-elle en tournant les talons, laissant Raclaw face au bourreau qui, lui aussi paraissait énervé.
- On va t’y ramener chez toi t’inquiètes pas…
Grinça-t-il entre ses dents. Il reprit la cagoule et la tendit à Raclaw.
- Mais tu met ca sur ta tête, personne a encore confiance en toi pour le moment, et certainement pas moi.

Raclaw écouta toutes les paroles suivant tes de son interlocutrice avec attention et décida de ne pas répondre. Il conserva un visage de marbre et se.dit que malgré le fait que cette femme lui soit incroyablement insupportable, elle avait raison sur le fait que il ne s'était pas renseigné avant de passer à l'acte et n'avais rien vérifiée et avais agi inconsciemment.

Puis en regardant la dame partir il se retourna vers le bourreau qui lui parlait en étant passable énervée et lui sourit en le regardant.

-Faites donc mon brave.

Puis se laissa cagouler pour se faire reconduire non loin de son bar par d'autres personnes.

Le bourreau ne se fit pas priller pour remettre la cagoule sur la tête de Raclaw et quand elle fut couverte, il le saisit par le bras. Les deux firent quelquese pas ensemble avant qu'il ne lui adresse la parole.
- Tend les mains, j'ai un cadeau de la part des types que t'as fait pendre.
Dès que Raclaw aurait tendu ses mains, un violent choc lui écraserait le nez et il sentirait sa tête heurter violemment le sol une seconde plus tard. Ses membres s'engourdirent alors et l'étreinte caractéristique de Morphée.

Quand Raclaw revînt à lui, il était affalé sur une table familière : une des tables de son bar, assis sur une banquette. Posé devant lui était un mot griffoné.
"On te recontactera, en attendant fait profil bas, on fera ce qu'il faut de notre côté pour que tu sois pas embêtté. Désolé pour Bernard, il a le poing facile. Repose-toi bien."

Raclaw sentir un choc puis plus rien.

Il se réveilla difficilement avec un abominable douleur au nez et compris que le bourreau lui avait mater la tête pour l'assomer et le reconduire sur le canapé de sa chambre au bar apparemment. Et sur la petite table basse au centre de la pièce des instructions. Apparemment il devrait attendre. Mais avant il fallait qu'il rassel le ses amis de son groupe pour parler.

On passait à la phase supérieur et c'était une double opportunité à ne pas manquer.

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