[Terminé]Assassinat et message (RP solo)

27 Novembre 2290, ville basse non loin de la base militaire, 19H44

Raclaw adossé au mur et emmitouflé dans sa veste en cuir marron d’aviateur , cherchait dans une de ses poches son paquet de cigarettes. Au bout de quelques instants il le trouva et en sortit une qu'il coinça entre ses lèvres, il rangea le paquet et sortit alors son zippo. il fit rouler la pierre et la flamme embrasa le petit tube blanc de tabac. Il aspira une bouffée de tabac et apprécia le gout avant d'aspirer et de souffler la fumée qui se fit emporter par le vent.

Franchement aujourd'hui il faisait Froid et heureusement les cigarettes donnait un semblant de chaud a Raclaw qui depuis une demi-heure attendait le passage d'un officier militaire détenant selon Jackson des documents très importants et intéressants. quelle bénédiction d'ailleurs d'avoir Jackson, un infiltré se révélait être une très bonne source d'information.

Bon par contre cela commençait a le gonfler que le gus qu'il attendait ne soit pas encore la de plus le froid commençait a devenir mordant, bon par contre l'avantage c'est qu'il commençait a faire nuit donc pour la discrétion ça l'aiderait. Il finit sa cigarette et l’écrasa avant de regarder a l'endroit ou il était censé arriver.

La ça y était il venait d'arriver. Raclaw vérifia ses armes rapidement et commença a le suivre , et au premier coin discret qu'ils trouveront assez éloigné il le tuerai avec son couteau. avec l'effet de surprise ça se passerait bien.

Spoiler:

H.S.

Spoiler:

Coup de chance ou coup du destin ? Il se trouve que Raclaw n'eut pas à attendre bien longtemps avant que sa "proie" ne daigne sortir de sa cachette qu'était la base militaire de la ville basse. Passant entre les deux "doughboys" qui faisaient le piquet devant l'entrée, le colonel des services de renseignement passa le checkpoint sans avoirà montrer ses papiers et sous un déluge de saluts tous plus formels les uns que les autres de la part des soldats présents alors. Il paraissait avoir une quarantaine d'années, avec un léger collie de barbe et les cheveux poivre et sel. Une casquette d'officier bleu surmontait son crâne et un imperméable du même bleu le protégeait des éléments.

Regardant une jolie montre à son poignet, l'homme s'arrêta au milieu de la rue, pendant quelques secondes... De longues secondes... Qui parurent de plus en plus longues... Jusqu'à ce qu'il ne regarde autours de lui et ne remarque Raclaw non loin de là. il s'avança alors vers lui, avec un sourire avenant et l'interpella.
- Bonsoir monsieur. Pardonnez-moi de vous déranger, pourriez-vous me dépanner d'une cigarette s'il vous plaît ?
En même temps qu'il dit cela, il mit sa main dans sa poche et en sortit une capsule qu'il ne manqua pas de propose en échange de ce petit bâtonnet de tabac. Il était totalement ignorant des intentions de Raclaw, mais il restait dans la lemière et le champ de vision des deux gardes devant le portail. Raclaw pouvait-il le tuer alors ? En un éclair... C'était certain... Mais s'il pourrait fuir était moins sûr...

Raclaw confiant enfin durant une fraction de seconde avait fait un pas, mais malheureusement au même, exactement au même instant l'officier le repéra et le regarda avant de s'avancer vers lui avec un sourire. Et merde il ne pouvait pas tracer sa route et continuer au lieu de venir tout sourire vers lui. Enfin bon ce bonhomme arriva dans son grand manteau bleu pour lui demander une cigarette en échange d'une caps.
Non mais c’était pas possible la. Non seulement il était pris au dépourvu. mais en plus l était bloqué, il était en pleine lumière et les deux gardes de la porte de la base avait une vue dégage sur la scène.

Il se mit alors a réfléchir. et trouva la solution. Il commença a marcher un peu dans une direction éloigné de la base en faisant signe a l'officier de le suivre en sortant son paquet en même temps pour lui en donner une. il attendait qu'il le rejoigne comme ça il la prendra et ferai mine d'aller dans la même direction que lui et la il en profiterait.

-Venez je vous en donne une et on pourra un peu discuter ensemble pendant qu'on marchera c'est triste tout seul vous ne croyez pas.

dit il dans un sourire sincère.

Puis il continua a avancer en faisant mine d'attendre l'officier.

Spoiler:

L’homme face à Raclaw grimaça à sa proposition et se retourna, voyant la place encore vide. Il ramena rapidement son attention sur le jeune homme.
- C’eût été avec plaisir, mais j’attends une voiture, je suis assez loin de chez moi. Par contre vous pouvez en profiter si vous voulez je vous raccompagne.
Il prit alors une cigarette de Raclaw (partant du principe qu’il acceptait) et se l’alluma avant de tirer légèrement dessus. Il la baissa alors et sembla détailler le bonhomme face à lui avant d’afficher un léger sourire.
- Dites-moi jeune homme, vous m’avez l’air très athlétique, avez-vous pensé à rejoindre l’armée de la Nouvelle-France ? Ah… Saurai-je vous narrer les années palpitantes que j’y ai passées quand j’avais vôtre âge ? Défendre vos concitoyens et server le pays, il n’y a pas de plus beau combat !
Déclara-t-il avec un enthousiasme à peine exagéré.

Raclaw enetendit la proposition de l’officier et grimaça intérieurement, commet procéder si il était das une voiture officielle surtout avec un chauffeur en plus, du coup la discrétion ne serait plus de mise. tant pis il fallait jouer avec ca et prendre un risque. Le plan était simple il fallait accepter et sur le trajet quand il seront das un coin dessert il tuerais 'officier e le chauffeur d'un balle dans la tète chacun.

par contre après il faudrait courir vite pour se mettre a l'abri et se planquer pour voir les documents que ce gars portait sur lui. et bien sur il signerait son forfait de l'emblème de son mouvement. Raclaw se retourna alors vers l'oficier et sourit

-Avec plaisir je vous remercie de me permettre de voyager avec vous. et non je n'ai jamais songé a l'armée car j'ai déja un devoir envers mon bar familiale. Mais je serai ravi d’écouter vos récits.

Ils s’avança donc vers la voiture pour s'y installer avec son interlocuteur attendant le bon moment. Le chauffeur démarra et la voiture bougea.

Spoiler:

l'officier face à Raclaw afficha un certain sourire à son acceptation et, come s'il avait communiqué par la pensée, le chauffeyr de ce dernier apparu à cet instant. Tout en se dirigeant vers la voiture, il commenta.
-Ah je vois... Une tradition familiale... Je ne vais pas critiquer, mon père était aubergiste... On choisit tous sa propre voie. Moi j'ai préféré l'armée... Mais votre engagement auprès de votre famille vous honore.
Dit-il en ouvrant la porte d'un sourire aimable. Il prit place à l'arrière de la voiture et s'adressa au chauffeur, un jeune garçon qui semblait avoir péniblement 20 printemps.
- Kyle, nous allons fiare un détour par la ville basse pour déposer ce monsieur.
Il désigna ensuite le chauffeur d'un geste de main à Raclaw, ce dernier l'interrogea d'un haussement de sourcil en regardant dans le rétroviseur, prêt à se rendre là où il le lui demandait. Une fois la voiture en marche, le militaire commença à parler.
- Quel est donc ce fameux bar que vous tenez ? Je serais ravi d'aller y faire un tour à l'occasion.
Demanda-t-il avec une curiositée sincère.

Raclaw dans la voiture constat immédiatement que les hauts dignitaires de l'armée bénéficiaient de certains privilèges comme ceux d'avoir des voitures lustrés et plutôt luxueuses ainsi que confortable. Il observa avec attention la scène se déroulant sous ses yeux quand l'officier s'entretenit avec son chauffeur.

Ce dernier regarda Raclaw dans le rétroviseur, On aurait dit que ce dernier savait ce que ce dernier avait en tête. Raclaw décrocha son regard de celui du chauffeur et d'un coup d'œil verifa que ses armes étaient bien prête à l'emploi. Apparemment le colt oui le couteau par contre il aurait du mal à le sortir de son étui.

Puis l'officier lui demanda quel était le nom de son bar soit disant qu'il serai ravi d'y faire un tour. Raclaw fut ravi qu'il pose la question car il pourrait avoir un sujet de discussion qui monopoliseeait l'attention de l'officier. Et donc il aurait moins de mal à le tuer surtout à son plus grand malheur ce bonhomme était fort sympathique et sûrement que si les places dans la société de ces deux hommes n'étaient pas ce qu'elles étaient ils auraient sûrement pu être ami.

Il afficha un grand sourire plein de fierté et répondit.

-Mon bar se nomme le Taker's Blow. Avant c'était un grand bar de la ville basse tenu par ma mère car mon père est mort en mission au sein de l'armée je ne me souviens pas bien de lui. Enfin toujours est t'il que ma mère est morte quand j'avais 17ans ce qui a fait que le temp que je me remette le bar à pdu de l'argent des client et de l'espace. Maintenant ç'est a moi de lui rendre son éclat d'origine et d'honorer la mémoire de sa défunte fondatrice. Mais l'ambiance y est chaleureuse. Si vous y passez je vous paierai la course en vous offrant un verre.

Spoiler:

L’officier laissa Raclaw lui parler et lui expliquer l’origine de son bar sans l’interrompre. Il acquiesça à plusieurs reprises avant de prendre la voix.
- Désolé pour vos parents, ils m’ont l’air d’avoir été des gens honorables, une perte pour tout le monde de ne plus avoir des gens comme ça… Au moins perpétuez-vous un peu de leur héritage au travers de leur commerce, c’est un bel héritage… Et une sacrée responsabilité si je puis dire.
Puis l’homme tendit sa main avec un sourire.
- Travis McBeth, comme la pièce. Enchanté de faire votre connaissance… Monsieur ?
Demanda-t-il alors qu’il se souvenait soudainement qu’il n’avait pas demandé à Raclaw de décliner son identité. Sa seconde question serait tout autant pragmatique que la première car il lui demanderait où son chauffeur et lui-même devaient-ils le déposer. Après cela, l'homme essaierai d'emmener Raclaw sur des conversations de la vie de tous les jours, tels que le climat qui n'est plus ce qu'il était, ou l'armée qui manquait de recrues etc... Laissant tout de même au jeune homme la possibilitée de change de sujet à tout moment.

Raclaw écouta la réponse de l'officier après que celui ci ait écoute son histoire. Ce vieux bonhomme était fort compréhensif et très aimable et semblait sincèrement sensible aux malheurs survenu dans la vie de Raclaw. Mais ce dernier se ressaisir et écouta la suite de ce que l'officier avait à dire.

-Mcbeth. C'est original.

La à cet instant il savait qu'il lui fallait donner un faux nom car si il donnait le vrai et que le chauffeur ou l'officier survivait bil serait dans de beaux draps pour un moment.

-Moi c'est Ryan Strife. enchanté.

Il saisit la main de l'officier et la serra sincèrement. Puis il se souvint qu'il n'avait pas donné l'emplacement du bar. Et tant mieux car il l'indiqua avec un itinéraire ne passant que par des rues très peu fréquenté. Ce qui lui laisserait une assez large marge de manœuvre.

-Et qu'occuper vous comme poste au sein de l'armée monsieur Mcbeth

L’homme haussa les épaules à la réponse de Raclaw sur son nom de famille et répandit un peu de la cendre de sa cigarette par la fenêtre de son véhicule. Un bref instant de silence suivit alors avant que Raclaw ne lui demande dans quelle branche de l’air-force il officiait. L’homme sourit alors largement et lui répondit.
- L’armée de l’air. Eh oui ! nous avons une armée de l’air ! Depuis deux ans maintenant. Regardez…
L’homme s’empara alors de sa sacoche où, selon l’informateur de Raclaw, des dossiers secret défense étaient sensés se trouver, et il les extirpa sans aucun stress pour les montrer à son interlocuteur.
- Regardez, ce sont des biplans, inspirés de ce qui se faisait à la fin de la première guerre mondiale. C’est sûr, c’est pas tiptop par rapport à des vertiptères, mais comme on sait plus les produire il faut d’abord recommencer petit. Ils sont beaux hein ? Je les ai conçu !
Annonça-t-il tout fiérot en montrant quelques photos de pilotes posant fièrement devant leurs avions.
- J’vous aurais montré ça hier soir, j’aurais put passer en cour martiale, c’était top secret ! Mais la première démonstration publique a eu lieu aujourd’hui à Prosperité, en compagnie du président. La presse va publier un article dessus demain, alors maintenant ces informations sont déclassées. Qu’est-ce que vous en pensez ?
Demanda-t-il alors pas peu fier de ses créations.

Le vieux bonhomme dans son siège de voiture lui sourit avant de lui préciser ou plutôt de lui dévoiler la branche de l'armée à laquelle il appartenait. Et la Raclaw fut très surpris en entendant que cette homme était membre de l'armée de l'air. La il découvrait un point inconnu jusqu'alors. Depuis quand la Nouvelle-france avant une armée de l'air. Et depuis quand concevait elle les appareils qui se trouvait sur le papier que l'officier lui montrait.

Et d'après l'officier ces documents que ces appareils n'avait plus rien de secret depuis hier. Alors sois Jackson n'était pas non plus au courant soit ce n'était pas de ces documents dont il paraît. Raclaw accisa le coup et sourit à l'officier avant de répondre.

-en effet ce sont de très beau appareils. Je me demande combien de temps il vous a fallu pour concevoir ses plans. Et de plus je pense que ces plans même si la démonstration à eu lieu sont les seuls non. Vous êtes bien sûr qu'il soit judicieux de les montrer à tout le monde. Vous pourriez perdre votre poste.

Il conclut sa phrase en sortant son paquet de cigarette et en faisant un signe interrogateur à son interlocuteur signifiant une demande d'autorisation de fumée dans la voiture. Et dans le même temps il tendit le paquet vers l'officier.

L’officier face à Raclaw perdit un peu de son sourire à la question qu’il posa… Il était vrai qu’il s’agissait de choses auxquelles il n’avait pas encore pensé ! Mais rapidement il secoua la tête de façon négative pour le rassurer et se rassurer lui-même.
- Naaan, vous inquiétez pas. Ce ne sont que des photos et des croquis. Les vrais plans, les blueprints, sont en sécurité ailleurs, et en plusieurs exemplaires.
Il accepta ensuite une cigarette et la colla dans son bec avant de répondre à Raclaw.
- Bah du coup, il m’a fallu deux ans. J’ai du les construire de zéro, sans plans d’avant. Pendant ce temps nos pilots se sont entraînés sur des simulateurs de vol généreusement prêtés par l’enclave. Mais aujourd’hui, ils sont prêts pour tout !
Déclara l’homme avec fierté.

Raclaw en constatant al mine de l'officier eu un petit relan d'espoir. en effet si c'était les vrai plans et les seuls c'était un grand avantage et une grande chance si Raclaw s'en emparait, mais sa joie fut de courte durée. en effet ce n'était qu des croquis et des photos. les vrais plans étant a l'abri mais ce n'était pas si grave apres réflexion

car si Raclaw s'en emparait il serait lus tard possible avec l'aides de personnes compétentes de refaire des plans et de construire des appareils similaires pour se battre a armes égales contre l'armée. Et vu qu'il ne restait plus beaucoup de temps avant d'arriver au bar et que le coin était relativement calme il fallait agir maintenant.

Raclaw ferma un instant les yeux et regarda l'officier.

-Bien je vois, vous tes un homme loyal et talentueux a ce que je vois mais malheureusement vous n'avez pas été dans le bon camp.

Sur ces mots Raclaw dégaina son couteau de combat et le planta dans la gorge de l’officier pour ensuite sortir de son autre main son coltN99 et tirer trois balles dans la tète du chauffeur. et une fois son forfait accompli et la voiture arrêté il prit la mallette et pour être sur il tira encore une balle dans la tète de chacun des deux hommes.

La dernière phrase de Raclaw laissa le militaire surpris et tandis qu’il fronçait les sourcils, il voulu ouvrir sa bouche, sans doute pour demander une explication. Mais le dernier son qui sortit de cette dernière ne fut qu’un gargouillement étranglé et rauque tandis que ses yeux fixaient Raclaw avec un air d’incompréhension et de stupeur avant de perdre toute vie.
N’ayant pas remarqué ce qui se passait, le chauffeur continua de conduire sur encore quelques mètres avant de se retourner pour se retrouver face au canon du colt de Raclaw.
- What the f…
Raclaw pourrait alors se consoler en se disant qu’il avait préservé la décence en lui explosant le crâne avant qu’il ne termine son juron. La tête de l’homme vola en arrière, maculant le pare-brise de sang, bouts de cervelle et d’os.
Ce qui restait de sa tête écrasa le klaxon de la voiture et sa jambe écrasant également probablement la pédale des gazs. La voiture fit alors une violente embardée à gauche et percuta un trottoir qui l’a fit légèrement dévier mais pas assez pour éviter un violent choc contre un mur. Après un tonneau latéral, la voiture stoppa sa folle course, le moteur ayant était détruit (mais pas le klaxon !).
Le choc fut violent pour Raclaw mais heureusement, la ceinture de sécurité et les airbags firent leur effet… Cela dit, il aurait tout de même de bonnes contusions et même s’il était trop tôt pour le dire, ce serait un miracle s’il s’en sortait sans os brisés ! Mais pour le moment l’adrénaline était trop forte pour le sentir.
Après ces effrayantes cascades, la mallette était toujours dans ses bras, serrée contre lui et il put noter que certaines lumières commençaient à s’allumer dans les logements bordant la rue. Si elle était vide pour le moment, elle n’allait pas tarder d’être remplie.

Raclaw une fois son forfait accompli s'accrocha de toutes ses forces ça si son objectif était rempli il avait quand même oublié que la voiture roulait toujours et que sans personnes pour la diriger cela allait être compliqué. Il s'accrocha et subi l'effet du tonneau, il rouvrit les eux qu'il avait fermé. Il était un peu sonné et il sentait que son arcade avait été ouverte suite au choc. Mais heureusement les airbags avait fait leur boulots. Il réussi au bout de multiples contorsions a s'extirper de la voiture.

Une fis en dehors avec la mallette, il vit les lumières de la rue commencer a s'allumer mais il estimait a u moins 3 ou 4 minutes le temps qui lui restait avant que les gens n'afflue. il sortie alors l'officier de la voiture et raina son corps pour le mettre en positon de mort dans un cercueil a coté de son véhicule. puis de sa main prit son sang et écrit sur un mur avant de s'enfuir en trottinant.

"WINGS OF LIBERTY"

une fois a une vingtaine de mètres il regarda les badauds s'agglutiner autour du véhicule et commenter le sanglant spectacle avant de fermer les yeux quelques secondes pour une sorte de recueillement envers cet officier qui était mort cr il n'avait pas choisi le bon camp. puis Raclaw s'enfuit dans les ruelle pourr ejoindre le Taker's Blow.

A cause des portières coincées et défoncées, sortir de la voiture prit bien une bonne demi-minute à Raclaw mais une des portières fini par céder sous ses coups rageux. S'il s'était arrêté là, il aurait put s'enfuir avec les documents en un rien de temps, mais son envie de signer son forfait à l'aide du sang de sa victime le retarda de au moins deux bonnes minutes... Sans compter que son haut et ses mains étaient maintenant maculées de sang.
Les premières personnes sortant de chez ells purent voir Raclaw de loin, et le voir prendre la fuite, mais elle était sans doute trop loin pour pouvoir l'identifier, espérons-le ! Cependant la trace qu'il avait laissée derrière lui signant son forfait faisait tout de suite comprendre que ce n'était pas un accident ordinaire.
- A l'assassin ! Au meurtre !
Commencèrent à hurler des gens tandis que, Raclaw l'entendait du bout de sa ruelle, certains s'étaient engagés à sa poursuite dans la ruelle. Les perdre était tout à fait possible, mais il n'allait pas falloir lambiner !

Raclaw courait a travers la rue malgré la douleur qui le lançait au niveau des cotes et le sang dégoulinant de son œil droit qui bouchait sa vue, il fallait qu'il se dépêche de s'enfuir car il ne faudrait pas longtemps pour que l'on comprenne que ce n'était pas un simple accident mais un meurtre de sang froid. Il se rendit compte après plusieurs secondes qu'il laissait du sang dégouliner de son visage, et ce dernier tombait par terre laissant une piste a suivre.

Et alors qu'il courait en serrant les dents cause de la douleur il entendit les badauds qui s'étaient agglutinés autour de la voiture avait repéré Raclaw et commençait a crier après lui et certains commençait a lui courir après. Surement des courageux ou des pros-gouvernement. Raclaw voyant cela commença a accéléré a cadence de sa course puis sorti son colt de son holster pour armé le chien et en courant tira 6 coups de feu a l'aveuglette, plus pour décourager que pour blesser réellement.

Une fois fait il continua sa course et tourna dans une rue puis une autre pour arriver dans une nouvelle rue dans laquelle il déchira un morceau de son t-shirt pour faire un bandage de fortune pour arrêter le saignement et dissimuler sa trace. Puis il respira un coup avant de continuer sa course pour rejoindre les quartiers les plus malfamés de la ville pour s'y dissimulé.

Raclaw prit donc une fuite assez désorganisée à travers les ruelles de la ville basse et se rendit vite compte que la foule des badauds le poursuivant était assez grosse. Malgré ses efforts, ils gagnaient du terrain et ce fut donc là qu'il eu l'idée de leur tirer dessus au hasard.
Si la plupart de ses tirs allèrent se loger dans des murs ou des détritus, deux d'entre eux cependant firent s'effondrer par terre deux des civils qui le poursuivaient. Ces tirs provoquèrent des hurlements de terreur et d'horreur particulier, mais également des insultes criées à son encontre.
- Salaud ! Meurtrier !
- Ordure !
Puis il y eu la rétaliation... En effet, tirer sur une foule de civils en colère n'était peut-être pas la meilleure idée dans une ville ou un de ces civils sur deux est armé. Le bruit caractéristique du claquement de balles se fit alors entendre aux oreilles de Raclaw et l'un d'entre eux avait même sortit un pistolet-mitrailleur à en entendre le bruit caractéristique. Des détritus et morceaux de mur explosèrent à côté de lui et Raclaw ressentit plusieurs vives douleurs dans les membres et le dos... Il avait été touché, vraisemblablement par du très petit calibre, mais il avait été touché à plusieurs endroits.
Heureusement sa salvation arriva quand il déboucha dans la rue principale : Les ruelles adjacentes offraient un grand nombre de posibilitées pour se cacher et panser ses blessures. En se lançant dans une rue, puis une autre, puis encore une autre, le jeune homme parvînt à semer la foule en colère qu'il pouvait cependant entendre gémir au loin. Maintenant venait le temps de la guérison de fortune avant de continuer... Et l'adrénaline redescendant, Raclaw se rendit compte qu'il avait mal... Très mal ! Dans tout le corps... Il allait devoir se reposer quelques temps après cette virée...

hrp : merci de faire ton inventaire avec le décompte de tes ballles restantes et ta santé Wink

Raclaw enfin au calme s'étonnera adossé à un mur . Il avait enfin réussi à semer ses poursuivants mais ces derniers avait été plus Que tenaces et même violent. En effet ils avaient à la suite de sesbtirs disparates qui avait fait deux morts tirés à leur tour, et malheureusement plusieurs étaient bon tireur car ils avaient réussi à toucher Raclaw, et le fait qu'il soit encore en vie ne résultait que du fait qu'ils avaient utiliser du petit calibre.

Mais, maintenant Raclaw était bloqué car d'après sa douleur il avait deux balles dans le bras gauche , trois dans le dos et une dans la jambe droite. Et sans l'adrénaline il souffrait le partir ne parvenant même pas à se montrer voir un peu.alors il reprit un bout de t-shirt et le mot autour de sa jambe droite et plus précisément où était la blessure puis serra le plus fort possible en serrant les dents.

Puis cecei fait il ne voyait pas quoi faire d'autre alors il alluma une cigarette et profita de cette dernière aussi longtemps que possible avant de en se relevant très difficilement continuer en tenant le mur en boitillant d'avancer à travers les ruelles pour tenter de trouver un abri sur.

Spoiler:

Raclaw était dans un sale état et maintenant que l'adrénaline ne faisait plus autant effet, il souffrait de partout et son esprit déja embrumé par un début d'inconscience lui dit qu'il ne pourrait pas aller très loin.
Heureusement son hémmeragie n'était pas si grave que ça mais les dommages faits n'étaient pas évaluables pour le moment... Et bien sûr hors de question d'aller à l'hôpital ! Il allait devoir faire avec les moyens du bord.

A force de boitiller lentement, Raclaw s'éloigna suffisament du lieu de l'accident pour être à peu près safe et remarqua une bâtisse abandonnée non loin de là, au pire occupée par quelques squatteurs. Il pouvait tenter de rentrer dans le building pour s'y reposer ou bien essayer de pousser et d'arriver jusque à son bar qui était tout de même encore à deux bons kilomètres... Soit une vingtaine de minutes de marche normale... Ou une heure dans l'état où il était.

Raclaw boiteux et blessé se rendit compte assez vite qu'il lui serait très difficile de rejoindre son bar sans éveiller les soupçons. À la place lors de son trajet il remarqua une bâtisse abandonné. Enfin abandonné c'était pas certain mais c'était toujours mieux d'aller las bas que de déambuler blessé dans les rues. Il pressa la cadence malgré la douleur et parvint à atteindre le bâtiment en question.

Après plusieurs coup sur la porte Raclaw parvint enfin à l'ouvrir et à entrer. Et aussitôt arrivé il se laissa tombé de fatigue sur un fauteuil. Et commença à examiner ses plaies pour finalement faire plusieurs bandages de fortunes avec des bouts de son t-shirt pour recouvrir avec sa veste en cuir par dessus. c'était des soins de fortunes mais au moins il ne se viderait pas de son sang pendant la nuit. Puis il se mit à se reposer un peu l'arme à la main sur un fauteuil de la maison.en prenant soin de lettre les documents volé dans la poche intérieur de sa veste. Puis il se mit à attendre le jour où il un signe d'une éventuelle aide.

Même si pour se dernier point il avait quelques doutes sur la probabilité de réalisation de celui ci.

Blessé et exténué à cause de la quantité de sang qu’il avait perdu, Raclaw choisit sagement de se trouver un abri pour la nuit où il pourrait se reposer et peut-être panser ses blessures. La porte de ce bâtiment d’apparence abandonné ne lui résista pas longtemps mais chaque coup qu’il donna contre la porte semblait être une épreuve abominablement douloureuse pour lui tellement sa chair était meurtrie.
Finalement, après un rapide tour du proprio, Raclaw ne trouva que des radcafards nains qui n’opposèrent pas une grande résistance à la semelle de sa chaussure et put enfin prendre un repos bien mérité. Le fauteuil qu’il trouva pour panser ses blessures était confortable malgré son âge vénérable et ferait une formidable couchette d’un soir. Pour ce qui était des blessures en revanche, c’était une autre histoire car même si la fatigue était plus forte que la douleur, celles-ci le lançaient fortement et la nuit seriat longue… Quelques côtes sans doute fêlées, des ecchymoses importantes mais le plus grave c’était ces balles qu’il s’était prises… Pas imposantes en soi comme blessures mais les balles étaient derrière lui étaient dans sa chair, il lui faudrait donc de l’aide pour les extraire, et de quelqu’un sachant tenir sa langue…

Sans plus réfléchir à demain cependant, Raclaw put s’assoupir et trouver le sommeil au bout de quelques minutes. Mais au rythme où il était lancé, lui seul déciderait de quand il se réveillerait…

Raclaw sur sa chaise. Sombra dans le sommeil tellement la fatigue et la douleur était grande. Il ne reva pas et ne fit aucun cauchemar visiblement prendre la vie d'un homme et d'un autre homme ne le secouait pas plus que ça. En revanche son réveil fut quelques peu difficile. À cause du réveil de la douleur du au réveil des sensations. Il grimaca et réussit à avancer jusqu'à la porte pour voir si.il faisait presque jour il avait du dormir une bonne douzaine d'heures.

Il sortit dehors et se fit le plus discret possible. À cet heure ci il n'y avait quasiment personne dans les rues même les patrouilles était rares. Alors il pressa un peu le pas mais la douleur le ralentissait. Mais au bout d'une bonne demi heure de marche il parvint à deux rues de son bar. Las bas Stacy pourrait le soigner avec le matériel médical présent sur place. Il avanca le plus normalement possible et après des dernières douleur arriva devant la porte du bar et frappa trois fois longuement puis deux fois rapidement pour indiquer que c'était lui qui rentrait.

Une minute plus tard Stacy apparut. Et en voyant son état restât un moment avec le visage blanc puis le fit rentrer et le conduisit sur son lit. Las elle sortit le matériel soit des bandages, un stympak et des buffout. Et alors qu'elles commençait à retirer les premières balles avec une pince spéciale elle lui demanda.

-Je me demandais pourquoi tu n'étais pas là. Franchement qu'est ce que tu as fichu pour te retrouver dans cet état.

Raclaw hésita à lui dire mais comme cette dernière le savait déjà il avoua son crime.

-J'ai tué un officier de l'armée pour récupérer des documents et on m'as poursuivie donc voilà.

Et il conclut en grimaçant quand Stacy lui enleva une balle de la jambe.

Stacy fut à la fois surprise et soulagée de voir revenir Raclaw au bar. Rapidement, en voyant son état, elle l’installa sur une table pour l’opérer à la va-vite. Ce ne serait pas le grand luxe ou la qualité de l’hôpital, mais à priori s’il désinfectait bien les plaies et prenait du repos, Raclaw ne devrait pas avoir de problèmes… Du moins ce fut le diagnostic de son médecin de campagne.
La demoiselle fit une petite moue quand Raclaw parla d’être allé tuer un officier, elle hocha la tête doucement la tête et retira une balle d’un geste rapide qui lança une effroyable douleur. Cependant, elle ne s’en émeu pas et lui demanda.
- Et la pêche a été bonne ? T’as eu des documents utiles au moins ?
Elle semblait contrariée, elle retira de nouveau une balle d’un geste un peu trop sec. Elle fit de même avec les balles restantes, de minuscules boules de plomb qui ne devaient pas être plus que du 22… Raclaw avait eu de la chance dans son malheur : les mêmes blessures avec du 9mm et il n’aurait sans doute jamais put rentrer chez lui…
- Ca va piquer.
Déclara-t-elle ensuite en fourrant une boule de tissu dans la bouche de Raclaw avant de verser du désinfectant dans la plaie.
Pour donner une idée de la douleur qu’il subit alors, il faut savoir que dans les minutes qui suivirent, plusieurs habitués vinrent frapper à la porte du bar pour demander s’ils pouvaient réserver une assiette du radcochon qu’ils croyaient qu’on égorgeait dans l’arrière salle…

Raclaw souffla en récupérant d'une énième balle enlever puis il répondit à labquestionnde Stacy. Après tout elle avait le droit de savoir. Même si elle ne faisait pas partie du mouvement elle partageait son chez lui et son lit avec elle et ils étaient bunnpzu plus que des amis.

-Disons que oui j'ai eu de quoi me réjouir. Mais je ne pourrai rien faire avant un moment et il me faudrait un ingénieur de génie pour réaliser les plans de ce qui est 'sur ces papiers.

Une fois qu'il eut répondit il écouta la remarque de Stacy et serrablez dents avant de hurler en sentant la douleur eu désinfectant sur ses plaies. C'était insoutenable, il crut même un moment qu'il allait s'évanouir. Mais Stacy le tenait bien pour ne pas qu'il bouge et luibpaelait pour le garder evillern une fois le traitement fait il se releva légèrement et se mit debout difficilement à cause de la douleur.

Puis souffla et inspaea plusieurs fois avant de regarder Stacy qui lui mettais des bandages. Et de lui dire avec un e sincérité extrêmement vrai

-Merci je sais pas ce que je ferais sans toi.

Puis il l'embrassa rapidement avant de s'allonger en fermant les yeux
Pour se reposer histoire de reprendre des forces. Mais avant de s'assoupir il demanda à Stacy.

-Tu pourrait fermer le bar aujourd'hui?.

Puis il sombra dans les limbes des songes

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