Bienvenue chez nous [RP solo John]

Quand John rouvrit les yeux, une lumière aveuglante l’éblouit et il ressentit une douleur lancinante dans le torse. Avant qu’il ne puisse relever la tête, une voix caverneuse se fit entendre.
- Il est en train d’émerger. Anesthésiste !
L’instant d’après, John se sentit partir de nouveau.

Quand il se réveilla pour la seconde fois, il n’y avait plus de douleur et quand sa vue se déflouta, il s’aperçut qu’il était dans une jolie chambre blanche, très propre, dans un lit confortable et face à un immense miroir face à lui. Ses vêtements étaient soigneusement accrochés à un cintre avec ses revolvers et une douce lumière filtrait par la fenêtre. Une intraveineuse passait dans son bras gauche, reliée à un petit sac remplit d’un liquide transparent.
Avant qu’il n’ait le temps de se poser beaucoup de questions, un homme en blouse blanche entra dans la chambre, un sourire au visage, visiblement bienveillant.
- Bonjour monsieur Red. Je suis le docteur Livon. Vous avez bien dormi ? Tout va bien, aucune douleur nulle part ?

Après avoir été drogué sans avoir été au courant, John se réveilla en premier temps dans une salle, une lumière aveuglante tel l’apparition d’une divinité, une douleur vif dans le torse était présente, le raider donna tout pour tenter de lever sa tête et une voix assez sombre et grave demanda à faire une anesthésie, puis plus rien…

Il se réveilla encore une fois, ça commençait à le faire chier de se faire anesthésié sans lui demander, mais ce réveil fut bien plus doux. Sa vue était floutée, mais après quelques secondes, sa vue devenue aussi claire que de l’eau, sa respiration était bonne et dégagée, aucun encombrement, soucis cette fois-ci. Une chambre blanche, très blanche comme la salle d’interrogatoire en prison, l’ex-détenu se frotta les yeux, la chambre était très propre, bien rangée, c’est seulement après quelques secondes que l’ancien taulard se rendit compte que sont lit était étrangement très très confortable. Une intraveineuse était plantée dans son avant bras, pourquoi ? Le liquide présent dans la poche était transparent ? C’était quoi ? De l’eau ? Un miroir d’une taille imposante était présente devant lui, ses cheveux avait été coupée ? Ils étaient devenu bien plus court, sa barbe aussi avait été rasée, du moins ils avaient d’épaissi la barbe. Ses vêtements étaient à sa droite sur un cintre, tandis que ses revolvers étaient posé sur une table de nuit à côté du lit. Puis soudainement un homme en blouse blanche, dégarni, cheveux gris/noirs avec des lunettes cassé, il demanda si tout allait bien comme si tout allait.. John arqua un sourcil, se racla la gorge et répondit au docteur Livon.

-Euh.. Bonjour Docteur Livon, j’ai plutôt bien dormis merci. Je ne ressent aucune douleur en ce moment même.. (Puis cette envie de poser cette question le prit) J’aimerais savoir où on est là.. Je veux pas dire mais on m’a anesthésié deux fois donc.. J’ai le cerveau légèrement retourner, et j’aimerais avoir une réponse.

Quand il le voulait, le renégat du cercle pouvait être sage et calme quand il était entouré de bonne chose et d’être dans de bonne condition, malgré la façon dont sa fin de phrase était formée, son ton était calme et posé.

Le médecin face à John hocha lentement la tête à son affirmation, un sourire satisfait aux lèvres.
- Parfait… l’anesthésiste a fait un meilleur travail que cet agent qui vous a endormi… Toutes mes excuses d’ailleurs pour le traitement qui vous a été infligé et quand vous vous êtes réveillé, ce n’était pas sensé arriver.
Dit-il en allant consulter la fiche accrochée au lit de John avant de marquer quelque petits trucs dessus. Il releva ensuite sa tête vers son patient avant de la secouer de gauche à droite quand il demanda où il était.
- Navré mais je ne suis pas autorisé à réveler cette information. L’homme qui vous a emmené sera bientôt là, il pourra répondre à vos questions dans les limites de ce qu’il a lui aussi le droit de vous dire.
Dit-il avant de reposer la fiche.
- En dehors de ça, avez-vous besoin de quelque chose ? Je peux vous faire apporter un repas ou des livres. A vous de me dire.

On affirma à John que les problèmes n’était pas sensé avoir lieu.. Incompétent. Enfin bref, John tourna la tête vers une fenêtre, la lumière passant par-celle-ci se posa sur le torse nu du cow-boy, son torse était vraiment pas beau à voir. Beaucoup d’impact de balles présent, des cicatrices un peu partout, beaucoup de balles étaient encore dans le corps du raider, impossible de tous les récupérer mais malgré cela, l’homme d’un âge avancé reste toujours aussi fort et résistant. Quel est son secret ? La détermination. Déterminé à quoi ? À finir la Confrérie, cette haine l’alimente tous les jours, toutes les heures, toutes les minutes ainsi que les secondes ! Un vrai fléau s’apprêtait à se battre contre des hommes ne pensant qu’a eux mêmes, et voulant la puissance absolue. Non, ça c’est une excuse. La vrai raison est personnel. Mais ne sera jamais diffusé aux autres. Pendant ce temps, l’homme en face du lit de Red nota quelques trucs dans son petit carnet avant de reprendre sur la question que le renégat à posé quelques minutes plus-tôt. Décidément.. Il ne voulait pas lui dire, ils ont peur ? C’est quoi le délire, John soupira puis le docteur essaya de se faire pardonner en demandant si un repas ou des livres lui ferait plaisir, Red rigola toujours en observant par la fenêtre

-Un cigare si possible, s’il vous plaît..

Le médecin se figea à la demande de John et afficha ensuite un petit sourire ironique.
- Humpf... Je crois que j'aurais du dire "ce que vous voulez sauf-un-truc-qui-pose-un-risque-à-votre-rétablissement mais soit... Ça devrait pouvoir se trouver...
Avant de repartir, il rapprocha une table avec quelques magazines d'avant-guerre que John pouvait parcourir pour se distraire. Pas de playboy ou de magazines cochons par contre ! Quelle déception...

Une dizaine de minutes plus tard, John vit Elvis franchir le pas de la porte entouré par deux gorilles en costards et cravates. Il tenait une serviette sous le bras et sortit un joli cigare brun de la poche de sa veste.
- Vous me ferez le plaisir d'aller le fumer sur le balcon ok ?
Demanda-t-il en le glissant dans les mains de John avec un clin d’œil. C'était un cigare de bonne qualité, fait avec des feuilles de tabac Louisianais de première qualité, le genre de truc qui valait bien une demi-journée de salaire d'un Louisianais lambda.
Il prit une chaise et s'assit devant John en ouvrant la mallette.
- Le doc m'a dit que vous avez plusieurs questions. Je vais y répondre du mieux possible, mais avant d'y aller, laissez-moi vous demander, avez vous déjà entendu parlé des états-unis d'Amérique monsieur Red ?

Après que le Cow-Boy ait demander un cigare au docteur, ce dernier afficha un visage semblant de pas approuver la demande de John. Mais sa parole affirma l’inverse, l’homme en blouse blanche posa quelques magasines datant du monde avant le notre, un sur les prototypes des mister handy, d’autre sur l’usage du nucléaire ect.. Red n’était pas du genre à être grandement intéressé par l’avant guerre. Pourquoi lire des trucs d’un monde mort ? Il faut vivre au jour du jour, puis la porte se ferma soudainement, le docteur venait de quitter la pièce laissant le renégat seul dans une chambre où le silence régnait en maître. L’ancien père de famille continua de regarder par la fenêtre puis brusquement la porte fut ouverte par un gars bien baraqué en costard cravate avec un autre gars du même style avec Elvis, ce dernier s’approcha du lit de Johnny pour tendre un cigare qui, semblait d’être d’une qualité hors du commun, John rigola et prit le cigare, cependant il ne pouvait le fumer à l’intérieur.

-Je sais pas si je vous l’ai dit, mais j’ai hésité de devenir un producteur de tabac ou bien raider haha ! Il y a moyen de se faire un max d’argent tout en faisant dans la légalité, mais j’ai préféré la vie de raider, bien plus palpitante !

Puis Elvis posa une question à l’ex raider « avez vous déjà entendu parlé des états-unis d'Amérique monsieur Red ? »

John posa une main sur son menton et réfléchit quelques secondes.

-C’est pas .. Le gouvernement qui dirigeait tout avant l’apocalypse ?

Elvis grimaça un peu face à la remarque de John et même les deux gorilles autours de lui semblèrent mal à l’aise à cause de sa remarque. Il s’expliqua rapidement cependant.
- Juste… Évitez de parler de votre passé avec les raiders ici. Même si ce que je fais est approuvé, personne n’aime les raiders, vous pourriez avoir des problèmes si vous la ramenez sur votre ancienne situation…
Une fois les points mis sur les i, l’homme s’appuya contre le dossier de son fauteuil et laissa John lui répondre. Quand il eu terminé, il hocha la tête et se ravança sur le fauteuil.
- C’est ça… C’est tout à fait ça… Il y a deux cents ans, ce continent était unifié sous la bannière du plus grand pays de l’époque qu’étaient les USA. Mais le gouvernement n’a jamais disparu, après avoir détruit leur propre pays, ils se sont réfugiés dans des abris avec pour projet de reconquérir ces terres un jour ou l’autre. Voilà l’héritage qu’ils nous ont laissé… C’est certainement pas le meilleur, mais cela nous donne malgré tout la légitimité de revendiquer la gouvernance de ce continent.
L’homme souffla longuement avant de reprendre.
- Nous sommes les descendants de ces types, et ceux qui nous ont rejoint entretemps. Notre projet est de reconstruire ce pays, de lui redonner sa gloire d’antan et rendre sa vie meilleure à ses habitants, ce que nous avons toujours fait avant de nous perdre en chemin… Avant que nos ancêtres soient aveuglés par leur soif de pouvoir et foutent tout en l'air, nous voulons rattraper leurs erreurs aujourd'hui. Donc, nous sommes les restants du gouvernement fédéral des États-Unis d’Amérique, l’enclave. Vous êtes chez nous ici, dans notre hôpital.

Pourquoi ils étaient mal à l'aise ? Ils ont peur ? Ahah, L'homme ayant une coupe banane se racla la gorge et affirma ne pas vouloir laisser John parler de son passé en rapport avec les raiders, c'est compréhensible, ça doit être des fragiles qui ne se sont pas encore habituer au terrible monde dans lequel ils vivent. Red Hocha la tête et répondit très clairement à Elvis

-Oui, j'éviterais à l'avenir, j'aimerais savoir si beaucoup de monde sont au courant de mes activités ? Ou bien juste les grosses têtes de votre organisation ?

Puis après la réponse de l'homme habillé en noire, il commença un monologue sur les états-unis, comme vous savez John vit au jour du jour, donc les trucs d'avant guerre ne l’intéresse guerre, mais le cow-boy fit un effort pour écouter le jeune homme en face de lui assit sur son fauteuil. En somme, ils sont les descendants d'un gouvernement "les états unis" ayant fuit dans les abris de Vault-Tec pour échapper aux déluges nucléaires, et ils essayent de corriger les erreurs passés du gouvernement. L'ex raider, s'en contre-foutait de leur objectif, rétablir les états-unis, ils se nomment l'Enclave. Et l'homme d'un âge avancé se trouve dans leur hôpital. Mais le but de l'Enclave est plutôt intéressant, voulant restaurer un état avec des règles, des lois, des devoirs. Les types comme John n'auront pas lieu d'être mais avant d'arriver à cela, il faut l’anéantissement d'un camp régnant dans tous le continent "La Confrérie de L'Acier" et quoi de mieux de recruter un homme ayant une rage énorme et immortel pour les détruire ? Le recrutement de John était au juste but de détruire la Confrérie en Louisiane.

-Et donc.. Vous avez besoin de mon aide pour éliminer votre adversaire principal, la Confrérie ?

Elvis secoua négativement la tête à la réponse de John et s’expliqua.
- Non, personne ici n’est au courant de nos actions. Les gens savent qu’on existe, mais c’est tout, ils ne sont pas au courant de nos agissements ou de la nature exacte de nos actions. Le nom de notre agence est la CIA : la Central Intelligence Agency. Officiellement nous nous chargeons d’espionnage et de contre-espionnage, officieusement nous utilisons tous les moyens à notre disposition pour améliorer la condition des USA, y compris affaiblir nos adversaires et cet adversaire à l’heure d’aujourd’hui, c’est la confrérie. Ils sont trop puissants pour être affrontés directement comme les raiders et trop fanatisés pour entretenir des relations diplomatiques comme la Nouvelle-France. Ils sont une menace très grave pour les USA à moyen terme, c’est pourquoi nous avons mis en place un programme pour les détruire par tous les moyens nécessaires, y compris recruter des gens comme vous.
Elvis s’appuya ensuite contre le dossier de sa chaise et répondit à la question de John avec néanmoins un sourire qui se voulait un peu moqueur.
- Non, vous n’êtes pas le seul. Mettons les choses au point : nous en avons des dizaines comme vous, des pères de famille ravagés par la confrérie, d’anciens raiders voulant se venger, des transfuges même… Toutes ces personnes ont la même mission que vous, vous n’êtes qu’un rouage. Mais ne vous méprenez pas ! Que vous soyez un rouage ne signifie pas que vous n’avez aucun droit, nous ne maltraitons pas nos amis, au contraire vous découvrirez bien vite qu’il y a de nombreux avantages à bosser pour nous, à commencer par la sécurité. Je veux juste vous faire comprendre que vous ne devez rien faire de stupide, car vous n’êtes pas indispensable.
L’homme se leva ensuite et se dirigea vers la fenêtre où une petite plante était posée. Il la nourrit en haut et se tourna vers John.
- Pour commencer, cette conversation doit rester confidentielle. Si vous en parlez à qui que ce soit, nous nierons avoir eu connaissance de vos agissements et également que vous bossez pour nous, puis vous serez éliminé, est-ce clair ?
Il s’assura que John aie compris puis continua.
- Ce que nous vous avons greffé est une petite puce électronique qui nous permet de savoir où vous êtes en permanence. Vous serez libre dès que vous serez rétablit et retournerez à la vie civile… Vos deux mois en isolement vous ont plus affaiblit que vous ne le croyez… Après cela, vivez votre vie, trouvez vous un joli appart, une femme ou des putes selon vos goûts, et le jour où nous avons besoin de vous, on vous appelle, pour aller casser du paladin.
L’homme refixa le bouchon sur la bouteille d’eau et se tourna vers John avec un immense sourire.
- Mais bien entendu, si vous souhaitez chasser le paladin de votre propre chef, vous en avez parfaitement le droit. D’ailleurs n’hésitez pas à nous contactez dans ce cas de figure, on peut vous prêter du matos, mais sauf en cas de décès il s’appelle reviens, sauf les cartouches bien entendu. Nous demandons par contre que vous soyez à notre entière disposition en cas d’opération planifiée. Sommes-nous d’accord ?

Encore une fois, Elvis se lança dans un véritable monologue, laissant John écouter comme un con, et puis, c’est important ce qu’il dit non ? En premier temps, il contait que les activités de l’Enclave demeuraient secrète et qu’elles devaient le rester. Leur agence se nommait la CIA, trop chiant à mémoriser, le cow-boy se tiendrait à Cia , leur but et d’espionner, et… Contre-espionner ? L’homme en costard appuya les dires de Red, l’ennemi principal était bien la Confrérie de L’Acier. Décidément personne ne les aimaient. Puis il continua en expliquant qu’ils devaient user de tous les moyens pour les vaincre, même recruter les plus grands tueurs. John resta sérieux, quelques fois, il se grattait la barbe, qui était très désagréable, pas foutue de raser une barbe correctement. Pendant ce temps, Elvis affirma que John n’était pas un agent spécial, seul, d’autres étaient recrutés, dommage. Ça aurait éviter les rivalités et les pertes de récompenses. Un sentiment de confiance prit l’ex raider et répondit directement à l’homme au costard noire.

-Vous vous trompez. Je suis celui qui ferais tomber la Confrérie de l’Acier. Je suis indispensable, les autres ne changeront rien, il vont juste profiter des avantages que vous leurs donner, moi je vais juste faire fondre cette Confrérie de l’Acier, donner moi.. Un an, et vos rivaux ne seront plus qu’un lointain souvenir. Croyez moi ou pas.

Mais malgré ça, Elvis continua son blabla, en se levant de son siège allant vers la fenêtre que John regardait depuis maintenant dix minutes, il annonça que tous devait rester confidentiel, si les informations seraient divulguer, ils viendront assassiner le renégat du cercle. Le père Red hocha la tête avant de répondre un « oui c’est clair ». Et le monologue continua encore.. Mais cette fois-ci, il affirma qu’on lui avait greffe une puce électronique, c’était donc ça la fameuse douleur au torse que le cow-boy avait ressentit lors de sont « accident » c’était une sorte de marqueur, tous les déplacements du raider était vu par l’Enclave. Puis Elvis expliqua que le raider était plus fatigué qu’il ne le croyait, malheureusement pour Red, il devrait rester ici un peu. Puis il annonça qu’il devait vivre sa vie et avoir une petit logement tranquille, une femme ou des putes(cela le fit légèrement rire). Johnny ne sentait pourtant pas de faiblesse physique ou de fatigue, il se sentait plutôt bien.

-Vivre ma vie.. ? Ça risque d’être dur, beaucoup de monde me connaissent, et ils sont au courant de mes activités, ça risque de me faire légèrement chier ça, trouver un boulot honnête sera difficile, mais bon ses mes problèmes hein.

Puis l’homme en noire se tourna encore une fois vers l’ex-détenu.

-Oui, nous sommes bien d’accord. J’aurais une dernière question avant d’aller m’habiller et fumer mon cigare, j’aimerais savoir.. Si je peux coopérer avec des raiders pour m’occuper des chevaliers de l’acier ? Tous les moyens sont bon ?

Puis après la question posé, John enleva de force l’intraveineuse et partit prendre ses vêtements pour les enfiler..

Face à l’enthousiasme du Cow-boy, Elvis sourit et secoua la tête.
- Honnêtement, j’en doute. Rien conte vous, mais je vois mal un seul homme détruire la confrérie… Mais il m’est arrivé d’avoir tort et je serais heureux que vous me prouviez que vous avez raison !
Dit-il alors qu’il avait commencé à arroser la plante. Pour la suite par contre, l’homme secoua la tête.
- Je ne crois pas… Vous n’avez pas vraiment le look raider habituel, et vous êtes plus… Sensé que vos congénères. Je pense que vous n’aurez pas de mal à vous intégrer à une société civile normale si vous en faites l’effort. D’autant que je n’ai pas connaissance de quelqu’un vous ayant formellement identifié comme raider, à part la gamine qui vous a arrêté… J’espère juste que c’était un accident !
Dit alors Elvis en ricanant avant de reprendre son sérieux à la prochaine question de John qui fit se regarder les deux gorilles en haussant un sourcil et plongea Elvis dans une intense réflexion. Après quelques instants de silence, il répondit…
- C’est assez inhabituel mais comme on dit, garde tes amis près de toi et tes ennemis encore plus. Soyez conscient que les raiders sont nos ennemis aussi, ils ne sont juste pas une priorité à ce jour mais il viendra un moment où nous devrons nous occuper d’eux. En dehors de cela, si vous ne vous en prenez pas à des civils, et j’insiste là-dessus car nous le saurons… Vous pouvez vous allier avec vos amis, si le fait de savoir que vous devrez un jour les poignarder dans le dos avec une lame rouillée ne vous gêne pas mais bon… Vous seriez bien le premier raider que je croise à avoir des principes !
Dit-il en riant de nouveau avant de reprendre une posture sérieuse, à attendre si John avait de nouvelles questions ou s’il souhaitait lui donner congé.

Elvis doutait des paroles du Cow-Boy, quel erreur.. Tout finit par mourir, tôt ou tard, après la réponse de l'homme en costard noir, John haussa les épaules et répondit directement

-Croyez moi ou pas, je m'en fiche, je vais juste me contenter de détruire la Confrérie et vous serez content et point.

-Je vous rappelle, que je suis allé en prison, ça a dut se faire connaître par toute la Nouvelle France. Et je ne l'espère pas.

-Bon, voilà j'ai plus de question, vous pouvez y allez..

Et sur ces mots, les hommes en noirs disposèrent, et John resta une petite semaine dans l’hôpital avant de quitter l'Enclave

FIN DU RP

Sujet: Re: Bienvenue chez nous [RP solo John]

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