Accueillant plusieurs miliers de réfugiés de la Nouvelle-France, la Favela de New Esperance fondée à partir du camp de réfugiés de l'enclave est devenue une véritable ville très active à la mode post-apo : insalubre, bidonville, corrompue et criminelle. Mais pour beaucoup, c'est le mieux qu'ils puissent espérer et la promesse d'un nouveau départ auprès d'un gouvernement qui s'occupera toujours plus d'eux que l'ancien qui les a abandonnés à leur sort.

Complètement fermé aux gens extérieurs à l'enclave (sauf sans une bonne raison d'entrer), le village est très lourdement fortifié et gardé par des soldats à toute heure. A l'intérieur de cette enceinte, la vie est paisible et les maisons restaurées offrent un cadre de vie semblable à celui d'avant-guerre. Nourriture, électricité, armement, l'enclave dispose des moyens pour produire toutes sortes de biens leur permettant d'être auto-suffisants et vendent les surplus aux marchands extérieurs. C'est un peuple d'apparence pacifique et de notoriété très hospitalier et aimable, mais beaucoup soupçonnent ce comportement de n'être qu'une façade...

Installé dans un ancien aérodrome, la base militaire de l'enclave est une place forte communiquant avec le village et abritant une armée de taille très imposante pour une si petite nation. Toutes les infrastructures nécessaires à une armée y sont présentes, pour l'entraînement, les communications et bien d'autres. Tous les citoyens de l'enclave sont d'ailleurs invités à venir y faire un tour régulièrement, car tous doivent recevoir une formation militaire régulière, juste au cas où...