Gigantesque No Man’s Land de près de 1km de large séparant les lignes Néo-Françaises des territoires raiders nouvellement conquis, cette zone dévastée est un véritable coupe-gorge ou peu de monde ose s’aventurer de peur d’être prit pour cible par un des deux camps ou bien encore de sauter sur une mine. Quartier auparavant habité, beaucoup de gens se sont enfuis en laissant tout derrière eux ce qui peut en faire une véritable mine d’or pour les récupérateurs téméraires et débrouillards.

Les lieux importants

L’ancien Marché

Situé en plein milieu de la zone de combat, cet endroit aujourd’hui déserté regorge encore de marchandises oubliées sur les étals lors de la précipitation de l’évacuation. Néanmoins c’est aussi une zone de haut danger car les snipers des deux camps s’observent en chien de faïence et tirent généralement sur tout ce qui bouge… Avis aux amateurs !

L’avant-poste de la Confrérie

Suite à leur traité de non-agression et de coopération avec la Nouvelle-France, la confrérie de l’acier a pris le risque de se créer un avant poste en plein no Man’s land, à quelques centaines de mètres des positions des raiders. Place forte extrêmement bien défendue, les raiders ont laissé tomber l’idée de la prendre après avoir perdu plus de 150 hommes en essayant. De là la confrérie organise des raids de récupération et, en accord avec le traité passé, ramène les réfugiés et ce qui ne les intéresse pas jusqu’aux lignes de la NF contre du ravitaillement qui leur permet de tenir.