Une, deux, dix secondes se sont écoulées et je commence déjà à écouter le sont des fusils qu'il utilise, malheureusement, ils sont tous à répétition ou semi-automatique on dirait, aucun automatiques, dommage, mais en même temps ce n'est pas comme si j'avais énormément de balle chez moi ou sur moi. Ils ont tous arrêté de tirer, à peu près en même temps, ils sont vraiment con de tous tirer en même temps. Je lève la main au-dessus de mon abri pour savoir s'ils sont bien en train de recharger leurs armes et après en être sûr, je me lève, près à tirer, deux étais en train de se cacher et un autre en train de courir vers un nouvel abri plus proche, je vais tenter de lui tirer dessus pendant sa course.

Lancé de dès n°3

Raté, il a eu le temps de se mettre à couver avant que je puisse tirer une deuxième fois et les deux sont certainement en train de recharger, j'ai peut-être une chance d'avancer sans me faire tirer dessus et tuer le plus près à bout portant, c'est risqué, mais il faut quand même le tenter si je veux rentrer le plus vite possible.

lancé de dès n°4

C'était une très mauvaise idée, un mec est sorti avant que je puisse me mettre à l'abri et il m'a touché à ma jambe gauche, la douleur est horrible, j'ai failli me rétamer par terre, mais au moins, j'ai pu aller à l'abri que je voulais et j'ai pu tuer un de ces enfoirés à bout portant en lui tirant deux fois sur lui, la deuxième était pour m'assurai qu'il est bien mort, après une rapide inspection de ma jambe, je peux toujours marcher voir même courir, mais en boitant, maintenant il n'en reste plus que deux, toujours en train de tirer comme des con d'ailleurs, je fouille la personne que j'ai passée de vie à trépas : une boîte de « Salisburry steak », un simple pistolet artisanal 3/6 avec aucune amélioration et 12 balle .22LR, au moins j'ai de la bouffe, même si ces trucs la sont horriblement mauvais, j'ai toujours mal à ma plaie et je n'ai vraiment pas envie d'utiliser mon stimpak, je vais donc utiliser les vêtements du raider à côté de moi, je déchire ses habits, sont tee-shirt et son pantalon, avec toujours les coups de feu des autres, j'en fais des bandages qui ne sont pas super super mais bon, avec tout ça j'ai pu en faire trois dont une que j'ai tout de suite utiliser pour arrêter le saignement en serrant le fort sur la plaie, j'ai peur que la balle à toucher une artère, mais bon, pour l'instant je me sens très bien et je suis prêt à partir pour aller buter définitivement ces cons.

santé et inventaire:

Je dis que je vais les buter, mais pour l'instant, c'est moi qui suis un peu dans la merde, il n'y a pas d'abri pour me rapprocher d'eux, pour l'instant je me contente de vider le chargeur de ce vieux pistolet artisanal pour ranger les balles et de le jeter un peu plus à ma droite, pas question d'utiliser une merde pareille, j'essaie de repérer mes ennemis en levant doucement ma tête, mais aucune chance, à peine que je sors on me canarde de balle, mais bon, ils sont seulement deux, si je gère bien mon prochain mouvement, je pourrais partir sans accro, mais je ne sais vraiment pas quoi faire, je regarde s'il met possible d'aller sur les côtés pour pouvoir les contourner, mais rien d'assez proche et d'assez sûr, pour l'instant, tout ce dont je peux faire, c'est d'attendre, je recharge mon arme et je commence à attendre, au bout d'une petite minute qui me sembla interminable, j'entends l'un des raider s'approcher de mon abri, j'essaye de trouver une idée pour me débarrasser d'eux vite fait, puis j'ai eu une idée et si tout se passe bien, alors je pourrais m'en sortir sans autre blessure tout en gaspillant seulement deux balles, voir trois au pire si tout se passe comme je vais le prévoir.Je commence part faire le "mort" tout en faisant aucun bruit pour éviter tout soupçon, une fois que le raider me vit à terre il commença à baisser son arme est à crier vers son partenaire, c'est là que je pointa sur lui mon revolver toujours en main, je me lève de façon brutal en poussant de toutes mes forces sur ma jambe droite pour le prendre par le coup et braqua mon arme sur son torse sans protection hormis un vêtement de cuir en visant au mieux le coeur pour enfin presser la détente, une fois cette action faite, je le tenais toujours avec ma main ce corps qui est passé de vie à trépas pour ensuite s'en servir comme bouclier contre les tires de ma dernière cible. Je me dirigeais toujours vers ma dernière cible tout en m'abritant des tire derrière le cadavre que je tenais avec mes deux mains et peinant pour marcher alors que le raider continuer de tirer pour essayer de faire traverser une balle à travers son partenaire mort, jusqu'à ce qu'il se mette à recharger, c'est à ce moment que je lâche prise de ma main droite pour viser, toujours en avançant, je cadre mon viseur sur son torse prêt à tirer une et unique balle dans l'espoir qu'elle atteigne sa cible.

Lancer de dès N°5

Rater, encore, encore une fois, derrière ce cadavre que je tenais et me met dans la même position qu'avant de tirer et continue ma marche. Le raider continuait toujours de tirer paniqué sur mon bouclier de chair alors que moi, patiemment et gardant mon sang froid, j'attendais qu'il recharge son fusil, ce qui ne fut pas long avec un chargeur si petit chargeur, le raider avait un peu continué d'appuyer sur la détente avant de se rendre compte qu'il était vide, il se dépêchait de recharger son arme, mais il était beaucoup trop tard pour lui, mon arme lui était déjà prêt à tirer et vue la distance qui nous sépare maintenant, il met impossible de rater une cible espacé de moins d'une dizaine de mètre. Le raider tomba en arrière, raide mort et moi je lâche le cadavre que je portais comme bouclier, ce qui me délivra d'un poids énorme et sans plus attendre, je commence à dépouiller ce qu'il avait d'intéressant à mes yeux. Après les avoir fouillés, je fais un récapitulatif des objets que j'ai dépouillés sur eux dont j'ai gardé.

- 26 munition de .22LR
- un brassard en cuir
- arme de fortune type : fusil à verrou
- 6 capsule

Et absolument rien d'autre d'intéressant, je recharge mon revolver et le fusil que je viens d'acquérir pour le ranger dans mon sac de manière à ce que je puisse facilement le prendre en cas de besoin et je me dirige vers le parking où j'ai laissé ma moto. Après avoir marché pendant un court moment, j'atteins enfin le parking avec ma moto, toujours à sa place, je dégageais les quelque débris que j'avais mis dessus et je le fais démarrer pour enfin rentrer chez moi, une fois arrivé à destination, je gare vite fait la moto, vide le contenue des coffrets, rangé mon sac, enlevé mon manteau pour aller enfin que j'aille sur mon lit, fatiguer de ma journée en niant ma faim et dormir sans repenser à ce qui s'est passé aujourd'hui.

santé et inventaire: