Je suis né il y à longtemps, trop longtemps pour que vous vous en souveniez, même si vous devriez. Ma génitrice n’a cessé de me rappeler que j’étais le plus gros œuf de la couvée et que j’étais voué à un destin formidable, rempli d’aventure, de succès et de femmes. J’eus grandis dans la caverne de mon père, une magnifique 6 pièces, de quoi faire pâlir vos taudis. Je passa ma vie tranquille entre la culture, le savoir, la bonne nourriture, les amis et l’entraînement. Car oui, je m’entraînais chaque jour. Saviez-vous que les VRAIS nobles devaient savoir manier l’épée et savoir pratiquer l’escrime à la perfection ? Comment pourriez-vous le savoir ! Quand je fus passé meilleur duelliste de la région, j’appris que ma mère s’était faites capturée par une fermière afin qu’elle serve de poule pondeuse pour… une humaine. Quand je l’eus appris je ne put m’empêcher de m’exclamer.
«
Diantre ! On eus capturé ma génitrice ! PÈRE ! APPORTEZ LES BLINDÉS, LA MITRAILLE, LES GRENADES, NOUS PARTONS EN GUERRE CONTRE LES ROTURIERS ! -
Fils ! Nous n’avons rien de plus que des blindés !-
ALORS DONNEZ MOI LES CLÉS, PÈRE ! JE M’EN VAIS RÉCUPÉRER VOTRE FEMME/SOEUR/COUSINE/ANIMAL DE COMPAGNIE !-
Cours fils ! Ne me Déçois pas ! »
Une fois les clé du blindé familial en main, je couru dans mon alcôve et je pris mon Trench coat, un petit peu de Nuka Cola et mon oreiller. Je me mouvais à toute vitesse vers le garage et m’enfourna dans le blindé tel un petit pain dans une tasse de chocolat chaud le matin. Je calais l’oreiller dans mon dos, bus mon Nuka Cola et démarra l’engin. C’était un magnifique Léopard 1 estampillé des blason de ma famille, une dent rose sur une spirale verte pomme, « rien de plus agréable à regarder » auriez-vous dit si vous eusse la possibilité de la voir.
Le blindé roula pendant 3 jours sans interruptions, mon pilotage était déjà fin de part ma pratique de ma passion première : la moto. J’aimais conduire et rouler sur les trucs. Comme ce Radcerf sur lequel j’eus roulé ce soir là, avant de tomber sur une découverte pour le moins étrange.
Une brahmine se tenait là, lancinante de par se meuglement difformes et sa peau toute frippée. Je me sentis de bon cœur ce soir là. Je sorti donc de l’écoutille de mon véhicule, j’arborais toujours mon haut de forme de prestance.
«
Veuillez vous déplacer, sous-race. Ou je vous roule dessus. »
L’animal ne bougea pas, il restait de marbre quant-à ma sommation. C’eut le dont de m’énerver et je rentrait dans mon blindé dans le but d’en faire un steack haché géant quand je vis cette chose, comme animée d’un âme devineresse, se déplacer sur le bas côté, me laissant la voie libre vers la reconquête de ma génitrice. Je remis en marche mon véhicule en route quand je me rendis compte de ce qui venait de se passer. Je venais d’assister à un acte de divination de la part d’une brahmine, d’une brahmine ! Comment une sous espèce de ce type pouvais accomplir un tel acte ? Je devais en savoir plus. Je repassai par l’écoutille de mon blindé pour attraper le sus-dit animal et l’embarquer la bord. Le reste du voyage se passa calmement, en interrogatoire envers cette créature étrange, qui malgré son odeur pestilentielle, ne manqua pas de me répondre par un large pannel de « meuh » tous aussi profonds que sensés. Je réalisais que j’étais en présence d’un cadeau des dieux, aussitôt je nommais cette vache « Eddy Murphy » et je l’emmenait avec moi partout ou j’allais.
J’arrivais à destination peu après 3h du matin, je sentais à l’odeur que ma mère n ‘étais pas loin. Sa piste me menait à une étrange ferme targuée du mot « Saloon » écrit en lettres lumineuses. Je garais mon char devant, sur l’endroit où un parking était censé se situer. J’entrais dans le bâtiment.
Tous les regards se tournaient vers moi et toute la populasse s’arrêta pour contempler ma magnificence. Je m’avançais donc vers le bar avant de m’agenouiller et de demander à la vielle goule pourrie répugnante ce qu’elle avait de plus raffiné.
«
On à rien à part de la pisse de brahmine, s’tu vois ce que je veux dire.-
QUOI ? VOUS INSINUEZ QUE VOUS BUVEZ L’URINE D’EDDY MURPHY ? Vous. Me. Répugnez. »
Je me tournais vers ma camarade.
«
Toi, faut qu’on parle. »
Je me levais et me tournais maintenant vers l’assemblée avant de poser la question fatidique :
«
N’auriez vous donc pas vu ma génitrice, ribambelle de sous individus ne méritant que la destruction et la pitié ? »
Je n’eus pas de réponse, seulement un fou rire général quant-à mon encontre . Ce fut la goutte d’eau qui fit déborder mon vase, je sorti du bar avec prestance et célérité avant de me rendre chez le vendeur d’arme le plus proche. C’était une petite cabane tenue par un étrange robot tout rond, on aurait dit un testicule volant. Peut importe, on m’avait appris à juger seulement les gens dont on avait pas besoin. Je m’avançais vers la machine.
«
j’aimerais la plus grosses armes que vous avez, et de préférence rapidement, ma génitrice est en danger. »
Un Fat-man fut posé devant moi par 3 pinces métalliques. Il était comme moi, tout rutilant, parfait, magnifique et neuf. Je le pris donc sur mon épaule, il était très léger et parfaitement équilibré. Une munition était insérée à l’intérieur. J’avais ce qu’il fallait. Je payais le robot de ma présence même, rien que de me voir valait un million de capsules, je pris donc le bout de ferraille et me redirigeait vers le « Saloon ». Une fois arrivé à proximité. Eddy meugla, et passa une demi heure à m’appuyer que ces manants ne méritaient pas de vivre.
« Meuh
-
Eddy, ces gens là ne méritent pas que je les tue, ça serait leur donner trop d’égards de ma part. -Meuh
-
Eddy, tu lis dans le pensées, tu dois sûrement lire que je ne céderait pas.-Meuuuuuuuuuh.
-
Ne me prend pas par les sentiments. Tu n’as pas le droit.-MeeeeeeUUUueeeuuuUUeuueuuuuEUueuUUuuHH
-
Arrêtes… -Meuh... »
J’essuyais la larme qui me coulait sous la paupière avant de tirer ma mini-nuke sur le bar. Autant vous dire qu’après le gros flash blanc, il n’en restais plus rien. Je marchais dans les décombres de la cabane. Les lettres « Saloon » ne brillaient plus. Ce paysage aurait pu paraître si triste si j’en avais eu quelque chose à carrer. Un mouvement me tirai de mes contemplations. Une silhouette familière se dégagea de sous les décombres. J’eus raison, ma mère était bien là.
«
Ô génitrice, quelle bordel étiez vous venue faire ici ?-
On m’eus capturée fils, un commando de Protectrons ninjas m’eut ligoté dans la nuit afin de m’emmener ici et m’utiliser comme machine de ponte.-
Mère, les Protectrons ne savent même pas sauter. Comment voulez-vous qu’ils soient ninjas ?-
Ils étaient communistes, fils, communistes…-
Mais c’eut dû être affreux mère.-
Ce fut affreux fils.-
Affreux affreux ? Ou juste affreux ?-
Affreux affreux.
-
C’est affreux.-
Affreusement Affreux.-
Affreux affreux ou affreusement affreux ? Il vous serait profitable de savoir. »
Un murmure se fit entendre. Un quelconque crissement de ferraille à première ouïe, mais pour quelqu’un de formidable comme moi, c’était plus que cela.
Après moult tentatives, j’eus pût entendre quelques bribes venant de mon épaule.
«
Je suis Fat-Man
Je pense donc je suis
Je pense Fat-Man
Je suis Fat-Man »
Les mots me manquent pour vous décrire à tel point je fus surpris par ces phrases. Deux phénomènes paranormaux dans la même journée, j’eus été surpris. Je pris l’arme dans mes deux main et la porta à hauteur de visage.
«
Et bien, Fat-Man, tu m’accompagnera maintenant, tu sera mon apprenti. »
Je me penchais entre deux pile de gravats avant de récupérer un vieux chapeau melon. Je le pris et le posa sur l’ogive chargé de l’arme.
«
Tu est dorénavant Mr Man. Mr Fat-Man de son nom complet. »
Je repris la route en char, ma mère, Eddy Murphy, Mr Man et mon oreiller avec moi, direction la tanière familiale.
Plusieurs années passèrent et je grandis paisiblement, je continuais d’exercer ma passion première, la moto, avec passion. Je m’acheta un blouson de cuir noir, je me laissai pousser la barbe et me fit tatouer le nom de ma copine de l’époque (Philiberte) dans le dos. Tout les jours je chevauchais mon Side-Car avec Eddy Murphy à mes côtés. C’était la belle vie, jusqu’à ce jour… funeste.
C’était une balade tranquille et habituelle, j’avais roulé sur beaucoup de gens ce jour là, mes pneus n’avaient jamais étés aussi ocres du mélange sang/bitume. Je glissais légèrement sur l’asphalte, mais rien de fantastique. Sauf que aujourd’hui c’était mercredi. Et que j’avais complètement oublié que le mercredi c’était jour de fêtes pour les Zétans, et ils débarquèrent tous en orbite haute d’un seul coup. Eddy meugla, surprise par toutes les lumières, elle essayait de sortir de son Side-car pour les rejoindre.
«
Non Eddy ! Tu vas déséquilibrer le carrosse ! ».
Trop tard, Je glissais et me retrouvais par terre. Tout se passe très vite. Je perçus divers Flash et je roulais sur le bitume. Quand tout s’arrêta, je ne sentais plus mes jambes.
On vint me chercher quelques minutes plus tard, Eddy s’étant servi de son Talkie-Walkie pour appeler les secours. Je rentrais chez moi après être tombé dans le RadPommes. Littéralement, l’ambulancier avait mal fermé la porte de la vielle infirmerie roulante, et je fus tombé dans les Rad Pommes qui attendaient à la sortie.
Une fois pleinement rentré chez moi, un fauteuil roulant m’attendait, et j’appris que je ne pourrais plus jamais me servir de mes jambes. Ce fut un choc pour moi de savoir que plus jamais je ne pourrais rouler sur les gens ou marcher de manière pédante.
Les années continuèrent de passer et je laissait derrière moi le Jean-Stanislas motard et débridé pour devenir quelqu’un de plus raffiné, je portais maintenant tout les jours mon haut de forme et je passais maintenant mon temps à lire. La vie se portait bien. Jusqu’au jour ou j’eus envie de voyager. Je parti vers le Commonwealth du Massachusetts dans le but de faire des rencontres.
Là-bas, je me fit héberger par un ami à moi, un certain ***** qui souhaite garder l'anonymat. Il me fournissait l'accès à son logement et à de la viande fine tout les jours le temps de mon voyage, et je lui faisait la lecture. En effet ***** n'avais pas la chance d'être lettré. Il savait se battre et ses jambes fonctionnaient, mais il ne savait même pas parler ou épeler son nom. J'eus pour la première fois de ma vie de la pitié envers quelqu'un de ma propre espèce.
Mon voyage dû s'arrêter précipitamment le jour où il y eu une bagarre entre vermines au dessus de notre logis de Concord. ***** sorti pour voir ce qu'il s'y passais avant de prendre un chargeur entier de minigun dans le buffet. Je fus dévasté sur le coup. Je confit les clé de l'appartement à Eddy et parti à toute allure vers Diamond City et venger mon ami.
J'eus du mal à rentrer dans le marché, mais mon air pédant et mes facultés intellectuelles me permirent d'accéder au magasin d'un dénommé Arturo.
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Bonjour vermine, J'aimerais une cartouche qui puisse tuer tout un régiment à elle toute seule, et vite. Le temps pour moi est précieux, contrairement à vous."
Cet homme me renvoya balader, et me proposa une "Cartouche violette de 10mm qui noterais le crâne des gens comme des hôtels."
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Exactement mon bon monsieur, c'est ce genre de chose dont j'aurais besoin, abruti.-
Vous... Vous êtes sérieux?-
Aussi sérieux qu'était la menace nucléaire communiste il y à 220 ans"Alors cet homme posa sur la table un bout de plomb indigo, je pris sans sourciller et repartis à toute vitesse sur ma chaises roulante.
Une fois arrivé à Concord, je pris le 10mm de ***** qui traînait toujours sur son cadavre décomposé et chargea la munition. Le coup parti et je fus surpris de voir tout les crânes des pillards traînant aux alentours exploser subitement. Frappé de stupeur, je ne vis pas que la cartouche était revenue dans ma main et qu'elle commençait sa Review Trip-Advisor
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Confort : Un peu vide mais spacieux.
Accueil : Vraiment dur de rentrer.
Prix : très attractif et compétitif, peut-être même agressif."
Une fois ceci fini, je me remis en route vers chez moi afin de retrouver ma famille et de leurs raconter mes périples. Mais je perdis mon chemin et atterris en Louisiane. Eddy n'avait pas arrêté de me dire que j'avais dépassé la bonne sortie, et elle eut raison cette fois... En tout cas, vu comme la Cité de Louisiane pullulait de sous races dans votre genre, je me senti obligé de rester pour vous apporter le raffinement.