Fallout RPG : Tales of the Wastes
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La guerre ne meurt jamais... En 2290, dans les terres désolées de la Nouvelle-Orléans, plusieurs factions s'affrontent pour le contrôle de la région... Qui serez-vous ?
 
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Julius Haber

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Julius Haber
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Julius Haber
MessageSujet: Julius Haber Julius Haber Icon_minitime1Mar 23 Oct - 13:24

Julius « Lifebringer » Haber



"Quoi? T'attends toujours la justice sur son cheval blanc?"



Pseudo Discord : Je ne le donne pas ici
Multi-comptes : Non, et probablement jamais
Sexe : Masculin sans aucun doute
Âge : 35 ans
Lieu de naissance : Le rocher aux Corbeaux (Raven's Rock inculte! À croire qu'on enseigne plus la géographique des USA à l'école.)
Race : Humain
Métier : Scientifique
Objectif de vie : Rapporter un semblant de justice et d'intelligence moyenne dans les terres désolées


DESCRIPTION



Physique (150 mots) :

"-Je croyais que t'étais parti enculé, et maintenant tu viens réclamer tes capsules, t'es vraiment une crevure."

Ma grande main longiligne et poilue sur les premières phalanges vient lui encastrer les incisives contre le comptoir. Mes bras se contractent pour enfourner la crosse de Richard dans son arrière crâne, espérant faire un trou pour désespérément lui "ouvrir l'esprit". Avoir des bras musclés c'est plutôt utile, lorsqu'il s'agit de fracturer des arcades. Mon pyjama Super Duper Mart rape contre le sol alors que mes Caterpillars font tampon sur le sol imbibé de whisky. J'attrape les couille de son pote et le fait passer par dessus le comptoir, passant désespérément par dessus mes maux de dos hérités de mon mètre quatre vingt douze, eux même hérités de mon daron. Bordel de dieu, j'ai beau faire de la muscu pour trimballer ma cuirasse, faut croire que derrière les tablettes attrape gonzesses je reste un fragile, merci les intégrales.

Je me relève et regarde les gens autour de moi, c'est le fait que j'ai plus de cartilage au nez qui les fait me fixer comme ça? Je me passe la main sur mes yeux vers comme pour y enlever une suie latente.


"-Quoi, vous en voulez vous aussi bande de rats?"

Personne ne bouge, tant mieux, j'aime bien quand les monosomiques se plient à mes intérêts. J'avance alors avec ma démarche bancale derrière le comptoir de ce petit bar de Louisiane et attrape le contenu de la caisse entre deux gémissements du barman. Je lui reprend la tête et grogne de mes dents sales avant de lui foutre le visage sur les bris de verre. C'est pour m'avoir volé espèce d'étron, ça t'apprendra à naître par le cul.

Avec ça, je pourrai probablement remettre un coup de peinture noire sur mon X-01, qui sait. C'pas qu'elle est un peu rouillée mais quand même. Si seulement Séraphin était là.


Caractère (150 mots) :

"-Ahah Haber, rapproche toi plus près de moi..."

J'attrape mon manuel de physique nucléaire face à le petite vieille qui commence à me prendre la main. Pas que j'aime pas ça hein, mais j'ai des choses plus importantes à faire que visiter un musée Gréco-Romain. Mon bras se défait de son emprise alors que mon regard se plonge dans le sien aveugle.

"-Écoute mamie, je sais que tu peux pas me voir, mais j'ai réparé ton évier et tu m'a filé ton bouquin, donc maintenant si tu fais quoi que ce soit qui dépasse notre accord je te jure je vais passer un doctorat en biologie pour faire refonctionner tes rétines afin que tu puisses apprécier mon mollard dans ta bouche."

Et je viens de me dire que je me suis proposer pour lui rouler une pelle en Wi-Fi. Putain. Je fais un pas en arrière et me redirige vers la sortie, ignorant ses futiles élucubrations.

Feuilleter les pages comme je feuillettes les rues, puis rentrer dans ma nouvelle chambre de motel Texane. Bah, c'pas la Louisiane, y'a pas de barman pour me faire rire, de gamine raider sur qui faire une crise de culpabilité ou une vagabonde pour le recoudre les plaies. Mon cul s'affale sur la chaise grinçante, bruit qui en tant que misophone à tendance à me faire perdre des points de Q.I. . Heureusement qu'on m'a appris à apprendre chez les chofas, sinon je prendrais ces équations différentielles pour l'héritage ancien de la civilisation perdue des enfants d'atome. Je crois que j'ai le matos là... oui.


Spoil:

Centres d'intérêts :

Je déboutonne ma chemine dans un craquement de pneumatiques et de grincements métalliques. La capsule en plomb normalement se retrouve entre le compartiment du microprocesseur pour le système d'exploitation. Je dé-bouchonne le récipient et entreprend de tremper l'isotope fait maison dans l'eau à 12°C puis de le frotter au chiffon. Je retire la balle qui s'y est planté et répare le tout avec le petit matos que je transporte dans la soute. Parfait. L'ogive revient dans la chambre et l'interface s'éclaire de rouge. Travail terminé.

Je m'allonge sur mon lit, j'ai soif. Je regard mon brassard à fleur de Lys sur mon armure. Bordel, dans quoi je me suis embarqué... C'était spécial là bas. Je descend me chercher un verre que j'enquille rapidement en reluquant les voyageuses.

Hé, c'est pas parce qu'on fait des maths qu'on peut pas tripoter de la femelle de temps en temps. Deux fois par mois maximum par contre, sinon les hormones me font perdre des neurones et je peux pas finir de réparer ma merde qui traîne à l'étage. Je regarde le plafond, je vois une aspérité là où se situe mon X-01... J'espère que ça tiendra le coup.


Vie relationnelle et affective :

Je commence par lui mettre un doigt dans l'orifice avant d'y enfourner mon autre main. La peau à beau être délicate et conservée, aussi blanche que les pages de mes livres et chaude qu'une pile à fusion après une baston, il n'empêche que ça me fait toujours naître un certain dégoût.

Un certain dégoût car être obligé de savoir cuisiner pour faire plaisir à une femme c'est juste hyper sexiste, et lorsqu'on vit dans un monde où déjà avoir de quoi manger est un luxe sans nom, alors avoir besoin de plus qu’un coup de bite de temps en temps ça fait passer n’importe quelle fille bien pour une grognasse princesse.


...

Famille :

...Peut-être que je dis ça parce que j’ai pas de maman ? Allez vous faire bouillav par une brahmine sidaïque avec vos théories Freudiennes, j’ai autre chose à foutre que d’aller chercher ma famille d’avant alors que je vis bien mieux sans. Pas de frère, pas de sœur si ce n’est la solitude, pas de parents hormis prudence mère de sûreté et Jack père de gueule de bois.

Santé :

Une balle gueule dans Richard et vient exploser la gueule d’un raider en face. La vitrine du magasin explose alors que je passer à travers et vient faire une clé de bras au dernier fuyard, encore chaud du sang de son pote. Les croisades se sont pas faites en un jour il faut admettre.

Alors que je l’entend hurler à l’aide dans mon casque à réduction de bruit active, le petit air de Haydn en fond me fait baisser les yeux sur mon ATH

« Santé : 80 %
Radiation : Syndrome d’irradiation latente, vérifier les conduites »

Faudrait vraiment que je règle la sonde pour qu’elle ne se calibre pas sur un mec normal de chez les aryens mais bien sur un rebut du Wasteland. Je parcours le système oculométrique avec précision pour naviguer dans l’état du système.

« Lampe Frontale : OFF
S.A.M.A. : OFF (57%)
M.A.S.S. : ON (vérifier intégrité du blindage)
JUNKINATOR : ERROR SYSTEM »

Argh Scheisse. Je démarre une résolution du problème en parallèle, les cliquetis du disque dur viennent se synchroniser avec les coups de pieds dans mes tibias.

Un flux.

TAPER.

TAPER ENCORE ET ENCORE.

DU SANG, DU SANG ENCORE. CASSER LA GUEULE, MEURT MEURT MEURT MEURT.

...

Je m’effondre dans la mare de vermeille qui gît sur le pavé humide et sec. Mon souffle chaud contre la mousse cinétique, et les yeux dans le vague des bulles orange en mode pare soleil. Bordel. Plus jamais je tente ça.

Remarque le dosage est pas mal, j’me sens comme neuf… Pour combien de temps ?

Histoire (300 mots) :

Bande de pédés, je sais très bien que vous êtes suffisamment fans de moi pour me connaître depuis le début, alors je vais écourter. C’pas comme si votre cerveau avait suffisamment de volume pour vous permettre de vous concentrer plus de quarante cinq secondes non plus.

Voyager en bateau avec St-Étienne était quelque peu reposant, et mon premier moment de repos… depuis… trop longtemps. Même si pour certain avaler su schnaps en quantité industrielle et sniffer de la lessive n’est pas relaxant et ressourçant, faire ça après avoir eu l’Enclave islamogauchofragile au cul et esquiver les débordements psychotiques des punks à chiens lousianesques fait passer les quelques débauches comme une lettre à la poste dans notre organisme.

Accoster en france, aux Sables d’Olonnes rebaptisés « Port aux rois » par les marchands Triangulaires, c’était la partie la plus dure du voyage. De temps en temps j’aidais St-Étienne à décharger deux ou trois trucs, toujours la bite faite au chalumeau sur mon mollet droit. C’était le bon temps, enfin… un temps déjà meilleur que de supporter les conneries du maître du destin en Louisiane.

La débauche se faisait sur terre, un peu plus hardcore, mais comme on avait pas de bateau à conduire aucune chance de se faire verbaliser par les troupes de la fleur de Lys. C’pour ça que j’aime la monarchie française. L’autocratie dans les mains de quelqu’un de compétent crée un environnement propice à l’épanouissement des petites gens, et ces derniers libérés du joug d’un monarque décérébré car trop occupé à troncher ses servantes, s’assurer une lignée descendante et régler la dette publique pouvaient enfin mener une vie à peu près agréable.

Et bon dieu que lorsqu’on revient de l’Amérique avec le fleuron de l’industrie lourde militaire Enclavée, même traverser la rue devient un effort qu’on a plus à faire pour trouver du boulot.

Le problème c’est qu’être une bête de foire c’est un truc bien lorsqu’on en a de quoi, mais faire des maths à l’École Néotechnique pour écouter gueuler des Jean-fermat et des Pau-Euler toute la journée, ça met l’habitude de se prendre des balles dans le buffet en frustration. M’enfin, j’étais tranquille. J’étais le haut fonctionnaire le mieux payé de tout le royaume, je tringlais à m’en développer une tumeur à la prostate et par dessus tout j’avais l’autre mutant avec moi.

Puis en vint un autre. Aveugle, avec des branchies. Un gros pédé pas foutu de réparer ma cuirasse correctement. J’ai essayé de passer sur sa Teutone porte-outils, et voilà le billet retour par la mer pour les USA. Pas un grand mal, si passer sur une nana peut frustrer les gens, c’est que de toute façon c’était un pays de merde.


«-Au moins, vu comment les Amerifags sont abrutis, on va pouvoir avoir un marché stable non ? 

Toi vendant les balles, et moi te les ramenant encore neuves ayant dégommé leurs porteurs pour que tu puisses les revendres, j’appelle ça le paradis capitaliste frère.»


C’est au nom de cette phrase que Séraphin descend l’ancre sur le port du Texas, côte Est, pas loin de Houston. Moi, j’arme ma cuirasse et fait claquer la culasse. Je réhausse mon brassard bleu et blanc sur mon bras d’acier. La fleur bien exposée vers l’opposant.

«-Si notre place n’était pas là bas, on va faire en sorte qu’elle le soit ici. »

SPECIAL : STR 7 ; PER 2 ; END 2 ; CHR 4 ; INT 9 ; AGL 2 ; LCK 2


DERRIÈRE LE PERSONNAGE




Pseudo : SlideHammer et non pas SledgeHammer
Âge : Vieux
Disponibilités : H24 comme le motel
Quelque chose à ajouter ? : soustraire.
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Vault Boy
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Vault Boy
MessageSujet: Re: Julius Haber Julius Haber Icon_minitime1Dim 28 Oct - 18:28
Une bien belle fiche, avec un personnage intéressant et une bonne qualité d'écriture.

J'ai le plaisir de t'annoncer que tu es :

Julius Haber 1540196745-certified-valide
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Julius Haber

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