Fondée il y a seulement quelques années à l'entrée du pont de Louisiane, Prospérité est un petit village marchand servant à la fois de grenier à la ville, d'avant-poste militaire et d'ambassade diplomatique auprès des autres factions des terres désolées. Le commerce et les échanges y sont florissants, à tel point que de nombreuses personnes viennent s'y installer, augmentant ainsi la taille et le pouvoir commercial de cet endroit. Au départ une ville assez bien organisée avec des maisons de bois dans le plus pur style de la conquête de l’ouest, Prospérité a vu son architecture urbaine se diversifier avec l’arrivée de nombreux réfugiés venus de la ville basse, mais elle conserve malgré tout (et même plus que jamais) sa position de petite ville dynamique dans les terres désolées.

Les lieux importants

Bagne de Hell’s Deep

A l’époque construit à l’extérieur de Prosperité, le bagne de Hell’s deep se trouve désormais en plein cœur de la nouvelle zone industrielle en raison de la récente explosion urbaine qui a eu lieu. Ici sont enfermés tous les criminels de la Louisiane, de l’enclave comme de la NF, petits ou gros, hommes ou femmes, jeunes ou vieux et soumis aux travaux forcés pour payer leur dette envers la société. Puisqu'on les envoie souvent aux champs, il n'est pas rare de voir des prisonniers en uniformes rayés travailler la terre aux alentours de prospérité, mais également dans les ateliers de divers commerçants ou usines de la ville.

L’armurerie "le bras armé"

Née de la fusion de plusieurs armuriers de la ville basse ayant tout perdu, cette armurerie est une sorte de mini-supermarché où vous trouverez de tout, y compris un stand de tir. La Nouvelle-France prélève chez eux un impôt écrasant en armes et équipement mais cela n’empêche pas l’entreprise de prospérer en raison de la conjoncture actuelle assez propice à la vente de tels outils.

Le quartier Industriel

Relocalisé en urgence lors de l’invasion des raiders, la ville industrielle de la Nouvelle-France se situe maintenant à Prospérité. Les industries occupent généralement des immeubles d’avant-guerre qui auraient bien besoin d’un coup de rénovation mais les machines tournent aujourd’hui à plein régime pour alimenter l’effort de guerre. L’emploi y pullule mais attendez-vous à faire des heures sup’ non payées pour un salaire de misère…