La guerre ne meurt jamais... En 2290, dans les terres désolées de la Nouvelle-Orléans, plusieurs factions s'affrontent pour le contrôle de la région... Qui serez-vous ?
Auteur Message Sujet: Fiche détente de Fallout Jeu 24 Nov - 16:44 Bonjour, J'ai eu dans l'idée de créer le sujet suivant afin de positionner ici les fiches fictives à but récréatif. Les règles sont les suivantes. La fiche doit tenir sur un seul message. La fiche doit absolument comporter le nom prénom et âge.. le Caractère, le physique et une histoire. Si possible une image pour étayer votre présentation. Vous avez le droit de faire des personnages complètement abusé niveau puissance, vous avez également le droit de faire des choses étrange... A votre guise. Je tiens cependant à rappeler que c'est pour le délire et donc que ça n'appartient pas au monde merveilleux de Fallout TOW. J'espère que le sujet va plaire et que l'imagination va être présente.
Auteur Message Sujet: Re: Fiche détente de Fallout Ven 25 Nov - 19:59 Nom : Durif Prénom : Sylvain Pierre Surnom : Le grand monarque qui incarne l'énergie du Christ cosmique, l'homme vert avec l'énergie de Merlin l'enchanteur, dont l'âme porte le nom de Oriana qui n'est autre que le prophète Nostradamus. Porte parole de Atome cosmique descendant des grand penseur de la vierge Marie. Âge : 40 Physique : Caractère : Histoire : Quand j'étais petit je me suis fait Abducté par des extraterrestres. Je voyais plein de serpents et des singes tout autour de moi. En faite c'était un message de la vierge Marie en provenance de Aldebaran qui m'a dit et j'ai très bien entendu car je suis claire-audient que je devais préparer l'humanité affronter les Zetans avec l'aide des Reptiliens pacifistes. J'ai alors crié car je n'avais que 5 ans et je ne comprenais pas l'importance de ma mission et mes parents sont venu dans la chambre. Quand ils ont ouvert la porte la vision c'est effacé. Ils ne m'ont pas crue mais, je sais que j'ai raison. Avec une amie j'ai longtemps cherché a savoir qui je suis. Un jour elle m'a passé un livre « Le grand monarque, l'homme vert » Et j'ai compris qu'en faite le grand monarque, l'homme vert c'était moi. Plus tard, je me suis dirigé à Broceliande pour voir les druides au château de Merlin et il était écrit « Sylvanus L'homme vert Merclin l'enchanteur » J'ai cherché à connaître la vérité et plus tard, lors de mon opération a bugharah. Ma soeur qui 35 ans plus tôt dormait au dessous de moi ( Car j'étais dans un lit superposé) M'a dit que la vision c'est bel est bien réalisé. Mais qu'elle à gardée le silence par peur. Enfin j'étais a Bugharah car c'était une opération de grande ampleur qui devait augmenter le niveau spirituel de tout les êtres vivants de l'univers. Le vaisseau de Venus qui devait me donner le plan des réseaux des cités de lumières intraterrienne qu'on appelle le réseau Agartha. Dans les cités de lumière, on peut cité Tellos sous le monts Caskar en Californie Champbalin au tibet. Vaste réseau de cité interconnecté Dans le but de créer un paradis intraterrienne. Je suis ensuite partie au Québec pour rencontrer, Gorbier le Roumain dit l'homme à la double vue. Il m'a dit que mon âme s'appelle Oriana et que je dois guider l'humanité dans la nouvelle dimension qui est la 5 ème. Je dois également en apprendre plus sur l'atlantide car j'ai un lien avec Quetzacoalt le dieu oiseau et il m'informe que les généraux du prince Charle principal leader des reptilien non pacifiste voulait financer mes recherche dont le projet Nvitaa sous la condition que je collabore avec nous pour le plan Codex Harpe et j'ai refusé. Les civilisations reptiliennes sont une civilisation très ancienne, une fraction minoritaire est non pacifique et c'est cette fraction minoritaire qui a prit le contrôle des affaires terrestres depuis fort longtemps. Les rangs se compose de la reine d'Angleterre ; Le prince charle ; George W Bush ; Preston Garvey, L'ainé Lyons, Le président Travis... Tous affilié au réseau reptilien qu'on qualifie d'illuminati soit du nouveau ordre illuminati. Ils organisent avec le Vatican des rituels sataniques. Où ils vont jusqu'à tuer des bébés et des jeunes femmes pour manger leurs chaires et leurs sang. Concernant le Codex Harpe est un appareil de torture interplanètaire furtif qui fait en sorte d'amener la torture dans une sorte de camp de concentration mobile qui emprisonne l'esprit dans le corps et le torture. Ça fonctionne par champ électromagnétique d'hyper stimulation du système nerveux du cerveau. Ils peuvent laver le cerveau.. donner des ordres... et ils appellent ça Voice to Skull. Je suis retourné voir les druides de brocéliande et ils m'ont dit que je suis le seul homme qui peut trouver et ouvrir la porte de Agartha. Ils m'ont demandé de le faire et je l'ai fais grâce à une grotte près d'Arc. Pour se faire j'ai demandé au deux clans, les loups garou et les vampires de s'unir et de signer un pacte de paix. Ils m'ont écouté car je suis un sur homme mi oiseau mi loup... Il y'a une femme témoin, elle à eu peur mais je lui ai demandé de rester calme. J'ai étais voir un voyant par la suite qui m'a dit que sur Aldebaran il y'a des laboratoires de préparation de Sur homme et moi même je suis un mélange entre un homme oiseau et un homme loup soit entre les deux clans ancestraux qui sont les loups garou et les vampires, j'ai donc eu la confirmation. Il m'a aussi dit de laisser mon invention non financé Nvitaa qui va remplacer internet, un système de communication et de transparence estimé 150 000 000 d'euros. Cette invention je l'ai donné à l'humanité, j'ai arrêté de la protéger. Je suis donc sortie hors corps pour voir sous la montagneet découvrir la cité de lumière arc en ciel en diamant qu'on appelle la cité Orcadia. La où se trouve le vaisseau de la vierge marie couleur or qui est énorme/immense et de forme Ovoïdale. La vierge Marie qui m'a emmené en direction de Ichtar en Louisiane pour préparer les hommes et de les unifiés dans Atome Cosmique pour luter contre les Zetans. Avec les vaisseaux de lumière sombre de Venus principal base des Zetans avec les gardiens géants qui compose leurs rangs cosmique.
Auteur Message Sujet: Re: Fiche détente de Fallout Mer 4 Jan - 0:27
Jean-Stanislas
« On est Griffemort ou on ne l’est pas. »
Nom complet : Jean-StanislasÂge : On ne demande pas son âge à un GentlemanRace : Griffemort ClassieuxGroupe : Les détenteur du bon goûtMétier : Abomination Paraplégique_________________________________________________________
CARACTÉRISTIQUES (40 points) STRENGTH : 4PERCEPTION : 4ENDURANCE : 4CHARISMA : 10INTELLIGENCE : 9AGILITY : 2LUCK : 7
COMPÉTENCES (200 points + points de départ) Armes légères : 6Armes lourdes : 6Armes blanches : 6Corps à corps : 75Discrétion : 9Intimidation : 50Mécanique : 30Médecine : 30Négociation : 50Science : 30Physique : 20Pilotage : 18 (vous comprendrez pourquoi.)Projectiles : 8Survie : 14_________________________________________________________
DESCRIPTION PHYSIQUE Ah… Mon physique… J’ai toujours suscité l’attention des damoiselles avec. Et oui messieurs humais, pas besoin de pousser de la fonte pour être musclé quand on est un Griffemort. Certes depuis que j’ai perdu l’usage de mes jambes ma santé s’en porte moins bien… Mais je reste en meilleur santée que vous, misérables humains, car je suis parcouru par l’essence même de la classe. Pour être précis, je suis un magnifique Griffemort couleur sable de par mon ascendance pure du Mojave (Je suis de la lignée de Deaissekleau 1er, ma lignée est pure). J’ai de magnifiques cornes cirées chaque matin à la cire de Cazador AOP. Mes yeux sont en parfait état. Mes écailles sont rutillantes de part le soin au beurre de Karité/Cactus d’or que j’utilise afin de me garantir une peau saine malgré les tempêtes de radiations. Mes bras sont parfaitement taillés contrairement à ces humains répugnants qui les ont irréguliers. Mon ventre, j’en prend soin aussi… mais arrêtons nous là, sinon je vais vous dégoûter, quand vous n’avez pas les moyens d’accéder au bon goût, lvous vous frustrez souvent, et je n’aimerais pas perturber votre petit transit intestinal. Pour terminer on pourrait s’attarder sur mon magnifique couvre chef, un Haut de Forme en velour noir à bande pourpre, symbole de ma lignée. Et sur mon fauteuil roulant sur lequel je vis depuis bientôt 16 ans, il est presque composé de ferraille neuve faite exprès pour moi. Vous verriez comment c’est si simple d’accéder au luxe quand on sait comment faire, mais vous préférez vous débattre à construire avec… des déchets. *rires sarcastiques*
DESCRIPTION MENTALE Caractériellement ? J’ai été élevé selon les plus hautes valeurs de ma race et dans le mépris des castes inférieures. J’aime beaucoup la bonne lecture comme Lovecraft et son « l’appel de Chtulu ». D’ailleurs saviez-vous que le personnage du démon est justement inspiré de moi ? Quelle coïncidence ! J’aime beaucoup la bonne chair, c’est à dire ce qui n’as pas été préparé il y à 200 ans, c’est à dire aussi ce que vous ne mangez pas ! *rires*. Du point de mon caractère à proprement parler, j’aime beaucoup me rendre utile, lier des liens sociaux avec les gens et apprendre à les connaîtres. C’est vrai ! Un estropié n’aura pas la même misère qu’une goule sauvage, même si la pitié qu’ils m’inspirent est la même. Je suis particulièrement lucide et intelligent, j’ai même été ingénieur dans ma vie, mais nous allons y venir...
HISTOIRE Je suis né il y à longtemps, trop longtemps pour que vous vous en souveniez, même si vous devriez. Ma génitrice n’a cessé de me rappeler que j’étais le plus gros œuf de la couvée et que j’étais voué à un destin formidable, rempli d’aventure, de succès et de femmes. J’eus grandis dans la caverne de mon père, une magnifique 6 pièces, de quoi faire pâlir vos taudis. Je passa ma vie tranquille entre la culture, le savoir, la bonne nourriture, les amis et l’entraînement. Car oui, je m’entraînais chaque jour. Saviez-vous que les VRAIS nobles devaient savoir manier l’épée et savoir pratiquer l’escrime à la perfection ? Comment pourriez-vous le savoir ! Quand je fus passé meilleur duelliste de la région, j’appris que ma mère s’était faites capturée par une fermière afin qu’elle serve de poule pondeuse pour… une humaine. Quand je l’eus appris je ne put m’empêcher de m’exclamer.
«
Diantre ! On eus capturé ma génitrice ! PÈRE ! APPORTEZ LES BLINDÉS, LA MITRAILLE, LES GRENADES, NOUS PARTONS EN GUERRE CONTRE LES ROTURIERS ! -
Fils ! Nous n’avons rien de plus que des blindés ! -
ALORS DONNEZ MOI LES CLÉS, PÈRE ! JE M’EN VAIS RÉCUPÉRER VOTRE FEMME/SOEUR/COUSINE/ANIMAL DE COMPAGNIE ! -
Cours fils ! Ne me Déçois pas ! »
Une fois les clé du blindé familial en main, je couru dans mon alcôve et je pris mon Trench coat, un petit peu de Nuka Cola et mon oreiller. Je me mouvais à toute vitesse vers le garage et m’enfourna dans le blindé tel un petit pain dans une tasse de chocolat chaud le matin. Je calais l’oreiller dans mon dos, bus mon Nuka Cola et démarra l’engin. C’était un magnifique Léopard 1 estampillé des blason de ma famille, une dent rose sur une spirale verte pomme, « rien de plus agréable à regarder » auriez-vous dit si vous eusse la possibilité de la voir.
Le blindé roula pendant 3 jours sans interruptions, mon pilotage était déjà fin de part ma pratique de ma passion première : la moto. J’aimais conduire et rouler sur les trucs. Comme ce Radcerf sur lequel j’eus roulé ce soir là, avant de tomber sur une découverte pour le moins étrange.
Une brahmine se tenait là, lancinante de par se meuglement difformes et sa peau toute frippée. Je me sentis de bon cœur ce soir là. Je sorti donc de l’écoutille de mon véhicule, j’arborais toujours mon haut de forme de prestance.
«
Veuillez vous déplacer, sous-race. Ou je vous roule dessus. »
L’animal ne bougea pas, il restait de marbre quant-à ma sommation. C’eut le dont de m’énerver et je rentrait dans mon blindé dans le but d’en faire un steack haché géant quand je vis cette chose, comme animée d’un âme devineresse, se déplacer sur le bas côté, me laissant la voie libre vers la reconquête de ma génitrice. Je remis en marche mon véhicule en route quand je me rendis compte de ce qui venait de se passer. Je venais d’assister à un acte de divination de la part d’une brahmine, d’une brahmine ! Comment une sous espèce de ce type pouvais accomplir un tel acte ? Je devais en savoir plus. Je repassai par l’écoutille de mon blindé pour attraper le sus-dit animal et l’embarquer la bord. Le reste du voyage se passa calmement, en interrogatoire envers cette créature étrange, qui malgré son odeur pestilentielle, ne manqua pas de me répondre par un large pannel de « meuh » tous aussi profonds que sensés. Je réalisais que j’étais en présence d’un cadeau des dieux, aussitôt je nommais cette vache « Eddy Murphy » et je l’emmenait avec moi partout ou j’allais.
J’arrivais à destination peu après 3h du matin, je sentais à l’odeur que ma mère n ‘étais pas loin. Sa piste me menait à une étrange ferme targuée du mot « Saloon » écrit en lettres lumineuses. Je garais mon char devant, sur l’endroit où un parking était censé se situer. J’entrais dans le bâtiment.
Tous les regards se tournaient vers moi et toute la populasse s’arrêta pour contempler ma magnificence. Je m’avançais donc vers le bar avant de m’agenouiller et de demander à la vielle goule pourrie répugnante ce qu’elle avait de plus raffiné.
«
On à rien à part de la pisse de brahmine, s’tu vois ce que je veux dire. -
QUOI ? VOUS INSINUEZ QUE VOUS BUVEZ L’URINE D’EDDY MURPHY ? Vous. Me. Répugnez. »
Je me tournais vers ma camarade.
«
Toi, faut qu’on parle. »
Je me levais et me tournais maintenant vers l’assemblée avant de poser la question fatidique :
«
N’auriez vous donc pas vu ma génitrice, ribambelle de sous individus ne méritant que la destruction et la pitié ? »
Je n’eus pas de réponse, seulement un fou rire général quant-à mon encontre . Ce fut la goutte d’eau qui fit déborder mon vase, je sorti du bar avec prestance et célérité avant de me rendre chez le vendeur d’arme le plus proche. C’était une petite cabane tenue par un étrange robot tout rond, on aurait dit un testicule volant. Peut importe, on m’avait appris à juger seulement les gens dont on avait pas besoin. Je m’avançais vers la machine.
«
j’aimerais la plus grosses armes que vous avez, et de préférence rapidement, ma génitrice est en danger. »
Un Fat-man fut posé devant moi par 3 pinces métalliques. Il était comme moi, tout rutilant, parfait, magnifique et neuf. Je le pris donc sur mon épaule, il était très léger et parfaitement équilibré. Une munition était insérée à l’intérieur. J’avais ce qu’il fallait. Je payais le robot de ma présence même, rien que de me voir valait un million de capsules, je pris donc le bout de ferraille et me redirigeait vers le « Saloon ». Une fois arrivé à proximité. Eddy meugla, et passa une demi heure à m’appuyer que ces manants ne méritaient pas de vivre.
« Meuh
-
Eddy, ces gens là ne méritent pas que je les tue, ça serait leur donner trop d’égards de ma part. -Meuh
-
Eddy, tu lis dans le pensées, tu dois sûrement lire que je ne céderait pas. -Meuuuuuuuuuh.
-
Ne me prend pas par les sentiments. Tu n’as pas le droit. -MeeeeeeUUUueeeuuuUUeuueuuuuEUueuUUuuHH
-
Arrêtes… -Meuh... »
J’essuyais la larme qui me coulait sous la paupière avant de tirer ma mini-nuke sur le bar. Autant vous dire qu’après le gros flash blanc, il n’en restais plus rien. Je marchais dans les décombres de la cabane. Les lettres « Saloon » ne brillaient plus. Ce paysage aurait pu paraître si triste si j’en avais eu quelque chose à carrer. Un mouvement me tirai de mes contemplations. Une silhouette familière se dégagea de sous les décombres. J’eus raison, ma mère était bien là.
«
Ô génitrice, quelle bordel étiez vous venue faire ici ? -
On m’eus capturée fils, un commando de Protectrons ninjas m’eut ligoté dans la nuit afin de m’emmener ici et m’utiliser comme machine de ponte. -
Mère, les Protectrons ne savent même pas sauter. Comment voulez-vous qu’ils soient ninjas ? -
Ils étaient communistes, fils, communistes… -
Mais c’eut dû être affreux mère. -
Ce fut affreux fils. -
Affreux affreux ? Ou juste affreux ? -
Affreux affreux .
-
C’est affreux. -
Affreusement Affreux. -
Affreux affreux ou affreusement affreux ? Il vous serait profitable de savoir. »
Un murmure se fit entendre. Un quelconque crissement de ferraille à première ouïe, mais pour quelqu’un de formidable comme moi, c’était plus que cela.
Après moult tentatives, j’eus pût entendre quelques bribes venant de mon épaule.
«
Je suis Fat-Man Je pense donc je suis Je pense Fat-Man Je suis Fat-Man »
Les mots me manquent pour vous décrire à tel point je fus surpris par ces phrases. Deux phénomènes paranormaux dans la même journée, j’eus été surpris. Je pris l’arme dans mes deux main et la porta à hauteur de visage.
«
Et bien, Fat-Man, tu m’accompagnera maintenant, tu sera mon apprenti. »
Je me penchais entre deux pile de gravats avant de récupérer un vieux chapeau melon. Je le pris et le posa sur l’ogive chargé de l’arme.
«
Tu est dorénavant Mr Man. Mr Fat-Man de son nom complet. »
Je repris la route en char, ma mère, Eddy Murphy, Mr Man et mon oreiller avec moi, direction la tanière familiale.
Plusieurs années passèrent et je grandis paisiblement, je continuais d’exercer ma passion première, la moto, avec passion. Je m’acheta un blouson de cuir noir, je me laissai pousser la barbe et me fit tatouer le nom de ma copine de l’époque (Philiberte) dans le dos. Tout les jours je chevauchais mon Side-Car avec Eddy Murphy à mes côtés. C’était la belle vie, jusqu’à ce jour… funeste.
C’était une balade tranquille et habituelle, j’avais roulé sur beaucoup de gens ce jour là, mes pneus n’avaient jamais étés aussi ocres du mélange sang/bitume. Je glissais légèrement sur l’asphalte, mais rien de fantastique. Sauf que aujourd’hui c’était mercredi. Et que j’avais complètement oublié que le mercredi c’était jour de fêtes pour les Zétans, et ils débarquèrent tous en orbite haute d’un seul coup. Eddy meugla, surprise par toutes les lumières, elle essayait de sortir de son Side-car pour les rejoindre.
«
Non Eddy ! Tu vas déséquilibrer le carrosse ! ».
Trop tard, Je glissais et me retrouvais par terre. Tout se passe très vite. Je perçus divers Flash et je roulais sur le bitume. Quand tout s’arrêta, je ne sentais plus mes jambes.
On vint me chercher quelques minutes plus tard, Eddy s’étant servi de son Talkie-Walkie pour appeler les secours. Je rentrais chez moi après être tombé dans le RadPommes. Littéralement, l’ambulancier avait mal fermé la porte de la vielle infirmerie roulante, et je fus tombé dans les Rad Pommes qui attendaient à la sortie.
Une fois pleinement rentré chez moi, un fauteuil roulant m’attendait, et j’appris que je ne pourrais plus jamais me servir de mes jambes. Ce fut un choc pour moi de savoir que plus jamais je ne pourrais rouler sur les gens ou marcher de manière pédante.
Les années continuèrent de passer et je laissait derrière moi le Jean-Stanislas motard et débridé pour devenir quelqu’un de plus raffiné, je portais maintenant tout les jours mon haut de forme et je passais maintenant mon temps à lire. La vie se portait bien. Jusqu’au jour ou j’eus envie de voyager. Je parti vers le Commonwealth du Massachusetts dans le but de faire des rencontres.
Là-bas, je me fit héberger par un ami à moi, un certain ***** qui souhaite garder l'anonymat. Il me fournissait l'accès à son logement et à de la viande fine tout les jours le temps de mon voyage, et je lui faisait la lecture. En effet ***** n'avais pas la chance d'être lettré. Il savait se battre et ses jambes fonctionnaient, mais il ne savait même pas parler ou épeler son nom. J'eus pour la première fois de ma vie de la pitié envers quelqu'un de ma propre espèce.
Mon voyage dû s'arrêter précipitamment le jour où il y eu une bagarre entre vermines au dessus de notre logis de Concord. ***** sorti pour voir ce qu'il s'y passais avant de prendre un chargeur entier de minigun dans le buffet. Je fus dévasté sur le coup. Je confit les clé de l'appartement à Eddy et parti à toute allure vers Diamond City et venger mon ami.
J'eus du mal à rentrer dans le marché, mais mon air pédant et mes facultés intellectuelles me permirent d'accéder au magasin d'un dénommé Arturo.
"
Bonjour vermine, J'aimerais une cartouche qui puisse tuer tout un régiment à elle toute seule, et vite. Le temps pour moi est précieux, contrairement à vous. "
Cet homme me renvoya balader, et me proposa une "Cartouche violette de 10mm qui noterais le crâne des gens comme des hôtels."
"
Exactement mon bon monsieur, c'est ce genre de chose dont j'aurais besoin, abruti. -
Vous... Vous êtes sérieux? -
Aussi sérieux qu'était la menace nucléaire communiste il y à 220 ans" Alors cet homme posa sur la table un bout de plomb indigo, je pris sans sourciller et repartis à toute vitesse sur ma chaises roulante.
Une fois arrivé à Concord, je pris le 10mm de ***** qui traînait toujours sur son cadavre décomposé et chargea la munition. Le coup parti et je fus surpris de voir tout les crânes des pillards traînant aux alentours exploser subitement. Frappé de stupeur, je ne vis pas que la cartouche était revenue dans ma main et qu'elle commençait sa Review Trip-Advisor
"
Confort : Un peu vide mais spacieux. Accueil : Vraiment dur de rentrer. Prix : très attractif et compétitif, peut-être même agressif. "
Une fois ceci fini, je me remis en route vers chez moi afin de retrouver ma famille et de leurs raconter mes périples. Mais je perdis mon chemin et atterris en Louisiane. Eddy n'avait pas arrêté de me dire que j'avais dépassé la bonne sortie, et elle eut raison cette fois... En tout cas, vu comme la Cité de Louisiane pullulait de sous races dans votre genre, je me senti obligé de rester pour vous apporter le raffinement.
_________________________________________________________
INVENTAIRE DE DÉPART -Mr Man (Fat Man doué de conscience, pas de munitions) -Eddy Murphy (brahmine lisant dans les esprits, pas de munitions) -Une chaise roulante valant à peu près tout le contenu de la Cité de Louisiane -Son chapeau
_________________________________________________________
Pseudo : RichesMontsÂge IRL : 16Comment as-tu trouvé le forum ? : Julius fait de la très bonne pub vous savez ?Des suggestions ? : Ne pas tout prendre au sérieux.
Auteur Message Sujet: Re: Fiche détente de Fallout Mer 4 Jan - 0:27
Jean-Stanislas
« On est Griffemort ou on ne l’est pas. »
Nom complet : Jean-StanislasÂge : On ne demande pas son âge à un GentlemanRace : Griffemort ClassieuxGroupe : Les détenteur du bon goûtMétier : Abomination Paraplégique_________________________________________________________
CARACTÉRISTIQUES (40 points) STRENGTH : 4PERCEPTION : 4ENDURANCE : 4CHARISMA : 10INTELLIGENCE : 9AGILITY : 2LUCK : 7
COMPÉTENCES (200 points + points de départ) Armes légères : 6Armes lourdes : 6Armes blanches : 6Corps à corps : 75Discrétion : 9Intimidation : 50Mécanique : 30Médecine : 30Négociation : 50Science : 30Physique : 20Pilotage : 18 (vous comprendrez pourquoi.)Projectiles : 8Survie : 14_________________________________________________________
DESCRIPTION PHYSIQUE Ah… Mon physique… J’ai toujours suscité l’attention des damoiselles avec. Et oui messieurs humais, pas besoin de pousser de la fonte pour être musclé quand on est un Griffemort. Certes depuis que j’ai perdu l’usage de mes jambes ma santé s’en porte moins bien… Mais je reste en meilleur santée que vous, misérables humains, car je suis parcouru par l’essence même de la classe. Pour être précis, je suis un magnifique Griffemort couleur sable de par mon ascendance pure du Mojave (Je suis de la lignée de Deaissekleau 1er, ma lignée est pure). J’ai de magnifiques cornes cirées chaque matin à la cire de Cazador AOP. Mes yeux sont en parfait état. Mes écailles sont rutillantes de part le soin au beurre de Karité/Cactus d’or que j’utilise afin de me garantir une peau saine malgré les tempêtes de radiations. Mes bras sont parfaitement taillés contrairement à ces humains répugnants qui les ont irréguliers. Mon ventre, j’en prend soin aussi… mais arrêtons nous là, sinon je vais vous dégoûter, quand vous n’avez pas les moyens d’accéder au bon goût, lvous vous frustrez souvent, et je n’aimerais pas perturber votre petit transit intestinal. Pour terminer on pourrait s’attarder sur mon magnifique couvre chef, un Haut de Forme en velour noir à bande pourpre, symbole de ma lignée. Et sur mon fauteuil roulant sur lequel je vis depuis bientôt 16 ans, il est presque composé de ferraille neuve faite exprès pour moi. Vous verriez comment c’est si simple d’accéder au luxe quand on sait comment faire, mais vous préférez vous débattre à construire avec… des déchets. *rires sarcastiques*
DESCRIPTION MENTALE Caractériellement ? J’ai été élevé selon les plus hautes valeurs de ma race et dans le mépris des castes inférieures. J’aime beaucoup la bonne lecture comme Lovecraft et son « l’appel de Chtulu ». D’ailleurs saviez-vous que le personnage du démon est justement inspiré de moi ? Quelle coïncidence ! J’aime beaucoup la bonne chair, c’est à dire ce qui n’as pas été préparé il y à 200 ans, c’est à dire aussi ce que vous ne mangez pas ! *rires*. Du point de mon caractère à proprement parler, j’aime beaucoup me rendre utile, lier des liens sociaux avec les gens et apprendre à les connaîtres. C’est vrai ! Un estropié n’aura pas la même misère qu’une goule sauvage, même si la pitié qu’ils m’inspirent est la même. Je suis particulièrement lucide et intelligent, j’ai même été ingénieur dans ma vie, mais nous allons y venir...
HISTOIRE Je suis né il y à longtemps, trop longtemps pour que vous vous en souveniez, même si vous devriez. Ma génitrice n’a cessé de me rappeler que j’étais le plus gros œuf de la couvée et que j’étais voué à un destin formidable, rempli d’aventure, de succès et de femmes. J’eus grandis dans la caverne de mon père, une magnifique 6 pièces, de quoi faire pâlir vos taudis. Je passa ma vie tranquille entre la culture, le savoir, la bonne nourriture, les amis et l’entraînement. Car oui, je m’entraînais chaque jour. Saviez-vous que les VRAIS nobles devaient savoir manier l’épée et savoir pratiquer l’escrime à la perfection ? Comment pourriez-vous le savoir ! Quand je fus passé meilleur duelliste de la région, j’appris que ma mère s’était faites capturée par une fermière afin qu’elle serve de poule pondeuse pour… une humaine. Quand je l’eus appris je ne put m’empêcher de m’exclamer.
«
Diantre ! On eus capturé ma génitrice ! PÈRE ! APPORTEZ LES BLINDÉS, LA MITRAILLE, LES GRENADES, NOUS PARTONS EN GUERRE CONTRE LES ROTURIERS ! -
Fils ! Nous n’avons rien de plus que des blindés ! -
ALORS DONNEZ MOI LES CLÉS, PÈRE ! JE M’EN VAIS RÉCUPÉRER VOTRE FEMME/SOEUR/COUSINE/ANIMAL DE COMPAGNIE ! -
Cours fils ! Ne me Déçois pas ! »
Une fois les clé du blindé familial en main, je couru dans mon alcôve et je pris mon Trench coat, un petit peu de Nuka Cola et mon oreiller. Je me mouvais à toute vitesse vers le garage et m’enfourna dans le blindé tel un petit pain dans une tasse de chocolat chaud le matin. Je calais l’oreiller dans mon dos, bus mon Nuka Cola et démarra l’engin. C’était un magnifique Léopard 1 estampillé des blason de ma famille, une dent rose sur une spirale verte pomme, « rien de plus agréable à regarder » auriez-vous dit si vous eusse la possibilité de la voir.
Le blindé roula pendant 3 jours sans interruptions, mon pilotage était déjà fin de part ma pratique de ma passion première : la moto. J’aimais conduire et rouler sur les trucs. Comme ce Radcerf sur lequel j’eus roulé ce soir là, avant de tomber sur une découverte pour le moins étrange.
Une brahmine se tenait là, lancinante de par se meuglement difformes et sa peau toute frippée. Je me sentis de bon cœur ce soir là. Je sorti donc de l’écoutille de mon véhicule, j’arborais toujours mon haut de forme de prestance.
«
Veuillez vous déplacer, sous-race. Ou je vous roule dessus. »
L’animal ne bougea pas, il restait de marbre quant-à ma sommation. C’eut le dont de m’énerver et je rentrait dans mon blindé dans le but d’en faire un steack haché géant quand je vis cette chose, comme animée d’un âme devineresse, se déplacer sur le bas côté, me laissant la voie libre vers la reconquête de ma génitrice. Je remis en marche mon véhicule en route quand je me rendis compte de ce qui venait de se passer. Je venais d’assister à un acte de divination de la part d’une brahmine, d’une brahmine ! Comment une sous espèce de ce type pouvais accomplir un tel acte ? Je devais en savoir plus. Je repassai par l’écoutille de mon blindé pour attraper le sus-dit animal et l’embarquer la bord. Le reste du voyage se passa calmement, en interrogatoire envers cette créature étrange, qui malgré son odeur pestilentielle, ne manqua pas de me répondre par un large pannel de « meuh » tous aussi profonds que sensés. Je réalisais que j’étais en présence d’un cadeau des dieux, aussitôt je nommais cette vache « Eddy Murphy » et je l’emmenait avec moi partout ou j’allais.
J’arrivais à destination peu après 3h du matin, je sentais à l’odeur que ma mère n ‘étais pas loin. Sa piste me menait à une étrange ferme targuée du mot « Saloon » écrit en lettres lumineuses. Je garais mon char devant, sur l’endroit où un parking était censé se situer. J’entrais dans le bâtiment.
Tous les regards se tournaient vers moi et toute la populasse s’arrêta pour contempler ma magnificence. Je m’avançais donc vers le bar avant de m’agenouiller et de demander à la vielle goule pourrie répugnante ce qu’elle avait de plus raffiné.
«
On à rien à part de la pisse de brahmine, s’tu vois ce que je veux dire. -
QUOI ? VOUS INSINUEZ QUE VOUS BUVEZ L’URINE D’EDDY MURPHY ? Vous. Me. Répugnez. »
Je me tournais vers ma camarade.
«
Toi, faut qu’on parle. »
Je me levais et me tournais maintenant vers l’assemblée avant de poser la question fatidique :
«
N’auriez vous donc pas vu ma génitrice, ribambelle de sous individus ne méritant que la destruction et la pitié ? »
Je n’eus pas de réponse, seulement un fou rire général quant-à mon encontre . Ce fut la goutte d’eau qui fit déborder mon vase, je sorti du bar avec prestance et célérité avant de me rendre chez le vendeur d’arme le plus proche. C’était une petite cabane tenue par un étrange robot tout rond, on aurait dit un testicule volant. Peut importe, on m’avait appris à juger seulement les gens dont on avait pas besoin. Je m’avançais vers la machine.
«
j’aimerais la plus grosses armes que vous avez, et de préférence rapidement, ma génitrice est en danger. »
Un Fat-man fut posé devant moi par 3 pinces métalliques. Il était comme moi, tout rutilant, parfait, magnifique et neuf. Je le pris donc sur mon épaule, il était très léger et parfaitement équilibré. Une munition était insérée à l’intérieur. J’avais ce qu’il fallait. Je payais le robot de ma présence même, rien que de me voir valait un million de capsules, je pris donc le bout de ferraille et me redirigeait vers le « Saloon ». Une fois arrivé à proximité. Eddy meugla, et passa une demi heure à m’appuyer que ces manants ne méritaient pas de vivre.
« Meuh
-
Eddy, ces gens là ne méritent pas que je les tue, ça serait leur donner trop d’égards de ma part. -Meuh
-
Eddy, tu lis dans le pensées, tu dois sûrement lire que je ne céderait pas. -Meuuuuuuuuuh.
-
Ne me prend pas par les sentiments. Tu n’as pas le droit. -MeeeeeeUUUueeeuuuUUeuueuuuuEUueuUUuuHH
-
Arrêtes… -Meuh... »
J’essuyais la larme qui me coulait sous la paupière avant de tirer ma mini-nuke sur le bar. Autant vous dire qu’après le gros flash blanc, il n’en restais plus rien. Je marchais dans les décombres de la cabane. Les lettres « Saloon » ne brillaient plus. Ce paysage aurait pu paraître si triste si j’en avais eu quelque chose à carrer. Un mouvement me tirai de mes contemplations. Une silhouette familière se dégagea de sous les décombres. J’eus raison, ma mère était bien là.
«
Ô génitrice, quelle bordel étiez vous venue faire ici ? -
On m’eus capturée fils, un commando de Protectrons ninjas m’eut ligoté dans la nuit afin de m’emmener ici et m’utiliser comme machine de ponte. -
Mère, les Protectrons ne savent même pas sauter. Comment voulez-vous qu’ils soient ninjas ? -
Ils étaient communistes, fils, communistes… -
Mais c’eut dû être affreux mère. -
Ce fut affreux fils. -
Affreux affreux ? Ou juste affreux ? -
Affreux affreux .
-
C’est affreux. -
Affreusement Affreux. -
Affreux affreux ou affreusement affreux ? Il vous serait profitable de savoir. »
Un murmure se fit entendre. Un quelconque crissement de ferraille à première ouïe, mais pour quelqu’un de formidable comme moi, c’était plus que cela.
Après moult tentatives, j’eus pût entendre quelques bribes venant de mon épaule.
«
Je suis Fat-Man Je pense donc je suis Je pense Fat-Man Je suis Fat-Man »
Les mots me manquent pour vous décrire à tel point je fus surpris par ces phrases. Deux phénomènes paranormaux dans la même journée, j’eus été surpris. Je pris l’arme dans mes deux main et la porta à hauteur de visage.
«
Et bien, Fat-Man, tu m’accompagnera maintenant, tu sera mon apprenti. »
Je me penchais entre deux pile de gravats avant de récupérer un vieux chapeau melon. Je le pris et le posa sur l’ogive chargé de l’arme.
«
Tu est dorénavant Mr Man. Mr Fat-Man de son nom complet. »
Je repris la route en char, ma mère, Eddy Murphy, Mr Man et mon oreiller avec moi, direction la tanière familiale.
Plusieurs années passèrent et je grandis paisiblement, je continuais d’exercer ma passion première, la moto, avec passion. Je m’acheta un blouson de cuir noir, je me laissai pousser la barbe et me fit tatouer le nom de ma copine de l’époque (Philiberte) dans le dos. Tout les jours je chevauchais mon Side-Car avec Eddy Murphy à mes côtés. C’était la belle vie, jusqu’à ce jour… funeste.
C’était une balade tranquille et habituelle, j’avais roulé sur beaucoup de gens ce jour là, mes pneus n’avaient jamais étés aussi ocres du mélange sang/bitume. Je glissais légèrement sur l’asphalte, mais rien de fantastique. Sauf que aujourd’hui c’était mercredi. Et que j’avais complètement oublié que le mercredi c’était jour de fêtes pour les Zétans, et ils débarquèrent tous en orbite haute d’un seul coup. Eddy meugla, surprise par toutes les lumières, elle essayait de sortir de son Side-car pour les rejoindre.
«
Non Eddy ! Tu vas déséquilibrer le carrosse ! ».
Trop tard, Je glissais et me retrouvais par terre. Tout se passe très vite. Je perçus divers Flash et je roulais sur le bitume. Quand tout s’arrêta, je ne sentais plus mes jambes.
On vint me chercher quelques minutes plus tard, Eddy s’étant servi de son Talkie-Walkie pour appeler les secours. Je rentrais chez moi après être tombé dans le RadPommes. Littéralement, l’ambulancier avait mal fermé la porte de la vielle infirmerie roulante, et je fus tombé dans les Rad Pommes qui attendaient à la sortie.
Une fois pleinement rentré chez moi, un fauteuil roulant m’attendait, et j’appris que je ne pourrais plus jamais me servir de mes jambes. Ce fut un choc pour moi de savoir que plus jamais je ne pourrais rouler sur les gens ou marcher de manière pédante.
Les années continuèrent de passer et je laissait derrière moi le Jean-Stanislas motard et débridé pour devenir quelqu’un de plus raffiné, je portais maintenant tout les jours mon haut de forme et je passais maintenant mon temps à lire. La vie se portait bien. Jusqu’au jour ou j’eus envie de voyager. Je parti vers le Commonwealth du Massachusetts dans le but de faire des rencontres.
Là-bas, je me fit héberger par un ami à moi, un certain ***** qui souhaite garder l'anonymat. Il me fournissait l'accès à son logement et à de la viande fine tout les jours le temps de mon voyage, et je lui faisait la lecture. En effet ***** n'avais pas la chance d'être lettré. Il savait se battre et ses jambes fonctionnaient, mais il ne savait même pas parler ou épeler son nom. J'eus pour la première fois de ma vie de la pitié envers quelqu'un de ma propre espèce.
Mon voyage dû s'arrêter précipitamment le jour où il y eu une bagarre entre vermines au dessus de notre logis de Concord. ***** sorti pour voir ce qu'il s'y passais avant de prendre un chargeur entier de minigun dans le buffet. Je fus dévasté sur le coup. Je confit les clé de l'appartement à Eddy et parti à toute allure vers Diamond City et venger mon ami.
J'eus du mal à rentrer dans le marché, mais mon air pédant et mes facultés intellectuelles me permirent d'accéder au magasin d'un dénommé Arturo.
"
Bonjour vermine, J'aimerais une cartouche qui puisse tuer tout un régiment à elle toute seule, et vite. Le temps pour moi est précieux, contrairement à vous. "
Cet homme me renvoya balader, et me proposa une "Cartouche violette de 10mm qui noterais le crâne des gens comme des hôtels."
"
Exactement mon bon monsieur, c'est ce genre de chose dont j'aurais besoin, abruti. -
Vous... Vous êtes sérieux? -
Aussi sérieux qu'était la menace nucléaire communiste il y à 220 ans" Alors cet homme posa sur la table un bout de plomb indigo, je pris sans sourciller et repartis à toute vitesse sur ma chaises roulante.
Une fois arrivé à Concord, je pris le 10mm de ***** qui traînait toujours sur son cadavre décomposé et chargea la munition. Le coup parti et je fus surpris de voir tout les crânes des pillards traînant aux alentours exploser subitement. Frappé de stupeur, je ne vis pas que la cartouche était revenue dans ma main et qu'elle commençait sa Review Trip-Advisor
"
Confort : Un peu vide mais spacieux. Accueil : Vraiment dur de rentrer. Prix : très attractif et compétitif, peut-être même agressif. "
Une fois ceci fini, je me remis en route vers chez moi afin de retrouver ma famille et de leurs raconter mes périples. Mais je perdis mon chemin et atterris en Louisiane. Eddy n'avait pas arrêté de me dire que j'avais dépassé la bonne sortie, et elle eut raison cette fois... En tout cas, vu comme la Cité de Louisiane pullulait de sous races dans votre genre, je me senti obligé de rester pour vous apporter le raffinement.
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INVENTAIRE DE DÉPART -Mr Man (Fat Man doué de conscience, pas de munitions) -Eddy Murphy (brahmine lisant dans les esprits, pas de munitions) -Une chaise roulante valant à peu près tout le contenu de la Cité de Louisiane -Son chapeau
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Pseudo : RichesMontsÂge IRL : 16Comment as-tu trouvé le forum ? : Julius fait de la très bonne pub vous savez ?Des suggestions ? : Ne pas tout prendre au sérieux.
Auteur Message Sujet: Re: Fiche détente de Fallout
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