[19 Aout 2290, quelque part dans les Marais]
Krysil était un gentil rad-cafard,
Krysil était content parce qu'il a une tâche très importante,
Krysil devait garder ses œufs jusqu'à ce qu'ils éclosent alors
Krysil devait être vigilant pour que personne ne leur fasse du mal.
-
kryyyyyyyh ! Lanca le petit
Krysil, tout content.
Au loin une grande forme se faisait croissante, il se rapprochait, c'était un de ces grands lisse,
Krysil espérait qu'il ne faisait que passait, mais le lisse se rapprocha et se retrouva devant
Krysil.
Krysil était menacé il fit donc un cri d'avertissement :
-
Kryyyyyyyyyyh !!!Le lisse ne l'écouta pas est sorti un bâton orné d'une pierre qui brille, le lisse le leva bien haut et
Krylis comprit la menace trop tard :
-
Kryyh ? lança-t’il avant de recevoir un terrible coup à la tête.
Et c'est ainsi que mourra
Krysil.
De la bouffe enfin ! Ça fait quatre jours que j'ai rien bouffer et ce rad-cafard arrive à point nommé, il n'a même pas ciller quand je suis arrivé, quel chance ! Enfin chance au vu de ce qui m'arrive, dés la première nuit, alors que je faisait route vers les territoires de la Nouvelle-France et que je m'était endormis, on m'a piqué mon sac de provision !
J'ai passé les jours suivant à pourchasser les voleurs mais je les ai perdu de trace, j'ai donc rebrousser le chemin mais le mal est fait, j’étais PAU-ME et personne ne se trouvait à l'horizon.
Je perd mes moyens et tente nerveusement de préparer un feu pour mon repas, en plein milieu de nulle-part comme ça, un feu se remarquera pas et dans le cas où ça arrive je serais partis depuis longtemps.
Chaque seconde a attendre que la viande soit cuite est une vraie torture, les effluves de la viande qui grille me font tourner la tête.
Mais avant que je ne puisse déguster ce met, j’entends les hautes herbes se froisser autour de moi, je sort mon colt attendant à voir sortir tout est n'importe quoi des environs : ghoules, mutants ou monstres, les possibilités sont infinis...
Là ! Juste derrière moi ! Je me retourne et lève mon arme.
-
Woooooh ! S'écrie un deux inconnus en levants leur fusil,
on se calme.
Les deux hommes portent des tenues de mercenaires en bon état, armées d'un fusil plasma pour le premier et une mitraillette pour le second : un SMG peut-être ?
Le premier gars est un colosse blond d'un mètre quatre-vingt dix, avec une barbe broussailleuse et des cheveux hirsutes cachant un visage dur buriné par le soleil, le second est légèrement plus petit, les cheveux bruns et une constitution à peine plus délicate que son partenaire. Ces deux gars peuvent tout aussi bien m'écraser la tête avec leurs grosses paluches vu mon état.
-
Écoute, on te veut pas de mal, alors à trois on va tous baissé nos armes, ok ?C'est bizarre, ils ont un drôle d'accent, comme s'ils ne venait pas du coin.
-
ouai, ouai,doucement...vous pourriez vous faire des mutants à main nus et vous vous étonnez que je sois méfiant ?Il sourit légèrement.
-
on est des caravaniers, on a vu de la fumée et on voulait juste voir si c'était pas une menace. D'un coup de tête il me montre un brahim chargé de sacs et un troisième gars qui me visait un fusil de précision, ils sont combien ma parole ? On dirait une escouades de la Cda ces types.
-
on fait ça ? Mon pote là-bas à la gâchette facile alors ne le tentons pas.Un.
J’étudie mes chances de survies, au cas où ils mentent, je pourrait m'occuper du brun et fuir dans le bayou en espérant avoir de la chance ? Non, le sniper pourrait me toucher avant que je ne me sois retourner.
Deux.
Je pourrais faire une roulade et me glisser derrière une couverture et les avoir à l'usure et dans le pire des cas me replier.
Trois.
Et puis merde ! Dans les deux cas je suis mort, je ne survivrais pas à deux jours de plus sans rien me mettre dans le ventre.
Je pose mon arme et les deux autres en font autant, le type du fond baisse son fusil à ma plus grande satisfaction.
-
Tu vas pas bouffer ce truc ? Dit le brun avec dégoût.
-
Pourquoi ? Vous avez mieux ?
Je crois que c'est la meilleur bouillie de haricot que j'ai jamais mangé de ma vie, facteur de la faim de quatre jours pris en compte. Le brun se nommait
Viktor, le blond silencieux se nommait
Tanguy et le sympathique sniper
Patrocle. Ils venaient de l'Ouest et venait en Louisiane « se faire un max de caps » comme disait
Patrocle, mais avant de faire écouler leurs produits ils devaient rencontrer le patron de Southern Caravan Company, Barakah Sleiman, ou un de ces second.
-
J'vous en doit une les gars ! Cette bouffe est excellente, j'ai une dette envers vous.-
T'as aucune dette envers nous, on t'a juste refiler de la bouffe.-
Si j'insiste, je peux vous être utile ?-
Bah si tu veux tu peux nous accompagner, on a jamais assez de flingues.J'acquiesce, ça me fera pas de mal un peu de compagnie et puis il faut bien commencer quelque part pour se débarrasser de ces Raiders, peut-être que ce Sleiman sait par où je dois commencer.
Viktor étale une carte assez brouillonne de la région et pointe du doigt un lieu à l'Ouest de la carte.
-
Bien, on se trouve ici, il pointe un autre endroit plus à l'Est,
et notre objectif est le camp de la Southern Company devant l'entrée Sud de la Nouvelle-France, on devrait l'atteindre demain soir dans le meilleur des cas ?-
Le meilleur des cas ?-
Je l'ai prise une fois, d'ici c'est sûrement le plus rapide mais le Sud pullule de monstres et de dangers en tout genre.-
Mais c'est le plus rapide comme tu le dit et ça fait beaucoup trop longtemps qu'on a pas passé un moment dans un endroit civilisé.J'acquiesce, les monstres ont beaux être dangereux, ils sont méfiants des humains, ça devrait passé.
On lève le camp et on commence à progresser à travers les herbes hautes et les marais, les paysages et les discussions défilent, c'est des gars cool en faite. Un événement étrange se passa le soir même, alors que l'on préparent le camp des bruits de métal qui se cognent résonnait au loin. Je fis signe aux autres de se baissait, le temps qu'on voit la menace.
C'est à ce moment que deux... hommes en armure et lourdement armés sortir des ombres et avancèrent à découvert. Leurs armures trempés et recouvert de plantes et d'algues, les éclats de l'acier avec la lumière du crépuscule donne une lueur mystique à ces hommes étranges
-
Nom d'un Titan, murmure
Patrocle,
qu'est ce que...Le pauvre n'a pas le temps de finir sa phrase qu'il est plaqué au sol par
Tanguy car au même moment un des hommes-armure se tourne vers nous. Nous retenons notre souffle, arme prêt à ouvrir le feu alors qu'en face l'autre aussi lève son arme par prudence.
Lancer de dés : Discrétion 4/11Le mystérieux homme s'avance de quelque pas, il est à même pas deux mètre de nous : j'entend d'ici sa respiration.
-
SHIIIIIIIIIIIIIIIIIII ! PHHHHHhhhhh...on reste là tout les quatre a presque plus respirer pour ne pas révéler notre position, il va nous voir ! Quel abruti ce
Patrocle si on survit, je l'étrangle de mes propres mains pour nous avoir fait risqué la mort. Au moment où l'armure sur patte et sur le point de nous découvrir un long sifflement résonne dans les Marais, le monstre d'acier se retourne et une voix perce de la seconde armure :
-
Ramène toi !J'entends les pas s'éloigner et quand je relève la tête, j'ai juste le temps de voir d'autres silhouettes dans le crépuscule et je me replaque contre notre cachette de peur que l'on nous voit.
Le temps s'écoule lentement et les bruits de pas et de métal s'atténue jusqu'à na plus s'entendre, dans un soupir j'entends alors les mots que j'avais à l'esprit :
-
on a eu chaud !- Spoiler:
-santé:bon
-radiation:bon
-ruines de Water Rails
-Tomahawk
-Colt Manhunter+4 chargeurs(60 balles)
-Rossi R92 +18 balles
-1 rad-cafard grillé
-4 poudres de soins primitives
-1 anti-venin
-1 rad-x
-tenue de mercenaire+manteau de voyage noire
-épaulette en cuir bouillis
-un jeton