La guerre ne meurt jamais... En 2290, dans les terres désolées de la Nouvelle-Orléans, plusieurs factions s'affrontent pour le contrôle de la région... Qui serez-vous ?
En plein coeur de la vieille ville, le quartier de Belle Ville voit passer tout sortes de badauds : bourgeois, pauvres, voyous, représentants de la loi... De jour, on vient profiter des bars, faire du chalandage ou flâner pour s'imprégner de la beauté des murs. Le soir, les maisons closes, les cabarets et les casinos s'ouvrent, et la population nocturne, souvent à visage masqué, arpente les rues, parfois à la recherche d'un autre type de marchandise.
Le Marché de Fondation est réputé dans tout le pays en tant que plateforme commerciale. Réparti sur des centaines de mètres, on y voit se succéder sur les étals de toutes les marchandises : produits de luxe, bijoux, argenterie, nourriture, etc. Le soir et les jours sans marché, la place redevient un lieu classique où viennent se promener les habitants.
La plupart des gratte-ciels du quartier ont été détruits puis reconstruits pour être réhabilités en bâtiments d'habitation ou de locaux professionnels. À deux pas de Belle Ville, les rues sont propres, calmes et saines. On y trouve cependant peu de vie, en raison du manque de commerce et d'activité du quartier.
Dans les quartiers moyens de Fondation, la plupart des commerces sont des magasins généraux où l'on trouve nourriture, literie, vêtements et autres consommables. La marchandise est achetable à des prix bien moins exorbitants que sur la place du marché, il est donc assez inhabituel d'y croiser des gens de haute société.
Aussi nommé le "Saladier", ce lieu d'habitation abrite la plupart des survivants de Fondation. On croise dans ces rues de toutes les origines et cultures. Même si ce melting-pot apporte souvent son lot de violence, les rues sont la plupart du temps bien gardées par les forces de l'ordre. Cependant, la nuit, mieux vaut rester prudent car des individus rôdent.
Même si certaines d'entre elles ont été reconstruites par la ville, nombre d'usines datent de l'avant-guerre et n'ont plus été ouvertes depuis. Si la plupart sont condamnés, il va sans dire qu'il est dangereux d'essayer d'entrer dans ces lieux peu protégés, servant parfois de tanière à la criminalité locale. Le peu d'usines en marche font fonctionner les quelques industries au service de Fondation.
La "Jungle". L'endroit le plus dangereux de la ville. Situées sur une partie de la ceinture extérieure de Fondation, les Favelas consistent en bidonvilles insalubres, un assemblage précaire d'habitations construites, les unes sur les autres, à partir de matériaux de récupération. La misère, la pègre et la violence se succèdent dans un quartier où peu de forces de l'ordre osent s'aventurer.
Progressivement, les immeubles et les habitations font place au terrain accidenté et abîmé de la campagne environnante. La nature reprend peu à peu ses droits. Dans ces lieux, la loi de Fondation règne encore et le danger, bien que présent, est assez rare.
Tout autour de Fondation, des survivants se sont regroupés en petites communautés de villages et de hameaux. Certains dans la campagne, d'autres dans la ville, sur le chemin de Dallas, ces villages peuvent être indépendants ou affiliés à des factions. On trouve de tout, et même des habitants de Fondation.